bibliothèque
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Dans ma bibliothèque, je ne garde pas tout. Seulement ce que je juge utile à mes projets. Vous y trouverez donc certaines œuvres médiocres ou mauvaises, car elles sont très utiles pour comprendre les bonnes. Les livres jugés inutiles ont été expulsés de la bibliothèque (revendus, donnés ou abandonnés). Aujourd’hui je fais plus attention et emprunte en médiathèque. La médiathèque est une magnifique invention de partage où l’on trouve des trésors.
Certains livres peuvent être accompagnés de notes (fautes d’orthographes incluses) pour me rappeler ce que j’ai ressenti sur le moment. Exagérations, inexactitudes et lucidité s'entremêlent rapidement ici. Si je change d’avis quelques jours plus tard, je me corrige dans une nouvelle note. Elles serviront de bases à des textes plus travaillés dans le blog.
J’ai commencé cette liste au printemps 2023 et une partie de ce qui a été emprunté avant, n’y figurera malheureusement pas.
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. L’orage – Anne Brouillard (1998)
. Histoire de Babar le petit éléphant - Jean de Brunhoff (1931)
. Naissance et vie d’un papillon – Jacquelines Candiard .
. Le Grand Arbre au centre du monde - Makiko Futaki
. Le prince tigre – Chen Jiang Hong (2005)
. Le magicien des couleurs – Arnold Lobel (1968)
. Hulul et compagnie – Arnold Lobel
. Oncle Éléphant - Arnold Lobel (1972)
. Chien bleu – Nadja (1989)
. Elmer – David Mckee (1989)
. Le loup est revenu ! - Geoffroy de Pennart (1994)
. Histoires de loups – Mario Ramos
. Un monde de cochons La totale - Mario Ramos
. Le grand livre vert – Maurice Sendak, Robert Graves (1962)
. Jardin bleu – Elena Selena
. Mini-bibliothèque – Maurice Sendak (1962)
. Max et les maximonstres – Maurice Sendak (1963)
. Un jour, un loup. Histoires d’amis, histoires d’amour – Grégoire Solotareff
. Odyssée – Peter Van den Ende (2019)
. L’Ascension de Saussure - Pierre Zenzius .
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Claude Ponti :
. Petronille et ses 120 petits (1990)
. Broutille (1991)
. Okilélé (1993)
. Ma vallée (1998)
. Georges Lebanc (2001)
. Blaise et le château d’anne hiversère (2004)
. La nuit des Zefirotes (2006)
. Catalogue de parents (2008)
. Bih Bih et le Bouffron Gouffron (2009)
. Mô-namour (2011)
. La venture d’Isée (2012)
. L’avie d’Isée (2013)
. Blaise et le kontroleur de kastatroffe (2014)
. L’affreux moche Salétouflaire et les Ouloums-Pims (2015)
. Le mystère des Nigmes (2016)
. Le fleuve (2018)
. Mouha (2019)
. Blaise, Isée et le Tue-Planète (2021)
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Annexes :
. Lire l’album – Sophie Van der Linden
. Fais-moi un beau dessin – René Baldy
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Médiathèque :
. Le dé-mariage - Babette Cole (1997)
. Patatras ! – Philippe Corentin
. Tête à claques – Philippe Corentin
. Le mangeur de mots - Thierry Dedieu (1996)
. Les aoûtiens - Olivier Douzou Frédérique Bertrand (2019)
. Petites misères - Suzanne Heller (1965)
. Lola et Léon - Anna Höglund
. Le pont - Eva Lindström (2020)
. Kiosque - Anete Melece (2019)
. Histoire du petit tabouret - Fabienne Mounier, Daniel Hénon (2002)
. Les printemps - Adrien Parlange (2022)
. À la nuit tombée, conseils aux monstres et aux enfants pour bien vivre ensemble – Enrique Quevedo
. Le petit soldat qui cherchait la guerre - Mario Ramos (1998) (Je suis toujours à la recherche d’albums qui abordent la guerre pour les enfants. Celui-ci est peu convaincant, malgré quelques dessins réussis. Otto reste indétrônable. 29/09/24)
. Valentin la Terreur - Mario Ramos (2000) (Très médiocre. Mais intéressant pour comparer avec les parfaits « C’est moi le plus fort » et « Mon ballon ». Exactement la même structure et le même principe sauf que tout est médiocre dans le premier, et tout est réussi dans les deux autres. À détailler. 25/09/24)
. Mon œil ! – Mario Ramos (2004)
. Emily & Alligator – Mario Ramos (2007)
. Arrête de faire le singe ! – Marios Ramos (2010)
. Loulou – Grégoire Solotareff (1989)
. Un chat est un chat – Grégoire Solotareff (1997)
. 3 sorcières – Grégoire Solotareff (1999)
. Le chat rouge – Grégoire Solotareff (2014)
. La guerre – Anaïs Vaugelade (1998)
. Le chevalier et la forêt – Anaïs Vaugelade (2012)
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Claude Ponti . Médiathèque :
. L’album d’Adèle (1986)
. L’écoute-aux-portes (1995)
. Au fond du jardin (1996)
. Les chaussures neuves (1999)
. Le doudou méchant (2000)
. Les montres molles (2004)
. Sœurs et frères (2010)
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Albums 1-4 ans . Médiathèque :
. Et après, il y aura… - Jeanne Ashbé (200)
. Dans l’infini - Alexis Beauclair (2012)
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. Ando - Philip Jodidio
. Gare des tramways de Nice - Atelier d’architecture Marc Barani
. Mied van der Rohe - Jean-Louis Cohen
. Alvaro Siza: The Function of Beauty
. F. L. Wright - Bruce Brooks Pfeiffer & Peter Goessel
. Le modulor - Le Corbusier
. Le couvent de Sainte Marie de la Tourette construit par Le Corbusier
. La idea construida Penser l’architecture - Alberto Campo Baeza
. Une ville sous un seul toit - Raymond Hood
. Architecture and mouvement The dynamic experience of buildings and landscapes - Peter Blundell Jones & Mark Meagher
. Suspended spaces Inachever la modernité
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OMA/AMO :
. AV Monographs Rem Koolhaas OMA/AMO 2000-2015
. La bibliothèque Alexis-de-Tocqueville à Caen
. Seattle Public Library - OMA/LMN
. New York délire - Rem Koolhaas
. S,M,L,XL - OMA & Rem Koolhaas & Bruce Mau
. Project Japan Metabolism Talks - Rem Koolhaas & Hans Ulrich Obrist
. Junkspace - Rem Koolhaas
. Countryside A report - AMO & Rem Koolhaas
. Preservation is overtaking us - Rem Koolhaas & Jorge Otero-Pailos
. Rem Koolhaas Vers une architecture extrême (Entretiens)
. Rem Koolhaas / Hans Ulrich Obrist The conversations series
. À propos de Rem Koolhaas et l’Office for Metropolitan Architecture Qu’est-ce que L’OMA
. Rem - Jean-Louis Violeau
. Made by the Office for Metropolitan Architecture An Ethnography of Design - Albena Yaneva
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Ebook :
. Études sur (ce quoi s’appelait autrefois) la ville - Rem Koolhaas
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. La trilogie : Animal'z, Julia & Roem, La couleur de l'air – Enki Bilal (2009, 2011, 2014)
. À la recherche de Peter Pan – Cosey
. Sketch Book Vol. 3 - Robert Crumb
. Sketch Book Vol. 5 - Robert Crumb
. La nuit – Philippe Druilet (1976)
. Histoire d’un couple – Yeon-sik Hong
. Lorsque que nous vivions ensemble – Kazuo Kamimura
. Le Voyage de Shuna - Hayao Miyazaki (1983)
. Nausicaa de la vallée du vent (5 vol.) – Hayao Miyazaki (1982-1994)
. Sunny – Taiyou Matsumoto
. Palestine – Joe Sacco
. L’arabe du futur (6 vol.) – Riad Sattouf
. L’homme qui marche – Jirô Taniguchi
. L’orme du caucase – Jirô Taniguchi
. Le journal de mon père – Jirô Taniguchi
. Quartier Lointain – Jirô Taniguchi
. Les années douce – Jirô Taniguchi
. Tomoji – Jirô Taniguchi
. Venice – Jirô Taniguchi
. La forêt millénaire – Jirô Taniguchi
. MW – Osamu Tezuka
. Ayako – Osamu Tezuka
. L’histoire des trois Adolph (2 vol.) – Osamu Tezuka
. La vie de Boudha (4 vol.) – Osamu Tezuka
. Dororo – Osamu Tezuka
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Médiathèque :
. Mémoires d’outre-espace – Enki Bilal
. La trilogie Nikopol – Enki Bilal
. Anaïs Nin – Léonie Bischoff
. Elise et les nouveaux partisans - Dominique Grange & Tardi (2021) (Apparemment Tardi n’a pas l’air de changer de style de dessin ?… c’est très en dessous d’Ici Même. Le trait me rappelle parfois certains styles de Tomi. Le vieux Tomi au trait un peu tremblant. Mais Tomi a changé mille fois son dessin et, contrairement à Tardi dans cet album, il ne perdait pas en qualité avec l’âge, au contraire… 06/04/24) .
. Blast (4 vol.) - Manu Larcenet (2009-2014)
. La route - Manu Larcenet .
. Gogo Monster – Taiyo Matsumoto
. Saison brune – Squarzoni .
. Adèle Blanc-Sec T. 3 - Tardi (1977) .
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Bibliothèque d’Olivier :
. Marseil - Michel Crespin (1979-1982)
. Vuzz - Philippe Druilet (1974)
. Ici Même - Jean-Claude Forest & Tardi (1979)
. Ronin - Frank Miller (1983-1984)
. I’m every woman - Liv Stromquist (2018) (Très bon. Livre utile. 28/03/23)
. La rose la plus rouge s’épanouit - Liv Stromquist (2019) (Intéressant mais beaucoup trop de textes?. Ce n’est pas assez « bédéifié ». Ce n’est pas pire que Squarzoni avec Saison Brune. | Le texte, les propos, ne sont pas transformés par le « langage BD ». Je me demande qu’est-ce qu’ajoute aux propos le fait que ce soit en BD ? Est-ce que le résultat serait si différent si c’était un essai avec que du texte ? | J’ai le sentiment que ce n’est que de l’illustration d’un texte en BD. 25/03/24 | Le chapitre 4 sur Hilda est très bien. Il se différencie car il y a un long passage raconté, ce qui fait respirer, donne du rythme et met en avant les textes type « essai » d’après. | J’adore le passage sur Beyoncé et les norvégiens. | Les sujets dont elle parle sont passionnants et je le relirai. Le problème principal c’est qu’elle ne transforme pas tous ces sujets avec son outil : la bande dessinée. Ça fait parfois un peu trop compilation de textes. J’avais eu exactement la même sensation (en pire) avec Saison Brune. Je dois le relire lui aussi. 27/03/24)
. Blitz Strauf - Zorin (1980) (Aucun doute, il sait dessiner. Aucun doute non plus, il ne sait pas raconter d’histoire. | Ses dessins manquent de lisibilité. Ce n’est pas forcément un problème d’ailleurs ; mais sur tout un album ? Mœbius savait allier les deux : dessins très complexes et lisibles. Il savait également bien raconter. | Les dessinateurs de BD et leurs visions du corps de la femme… 28/03/24)
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Blueberry L’intégrale (vol. 1, 2, 5, 6) - Charlier & Giraud
Blueberry tome 26 Geronimo l’apache (éd. Noir & Blanc) - Charlier & Giraud
Blueberry tome 27 OK Corral (éd. Noir & Blanc) - Charlier & Giraud
Blueberry tome 28 Dust (éd. Noir & Blanc) - Charlier & Giraud
L’homme est-il bon ? - Mœbius
Arzach - Mœbius
Le garage hermétique - Mœbius
Le monde d’Edena (6 vol.) - Mœbius
Les yeux du chat - Jodorowsky & Mœbius
Inside Mœbius - Jean Giraud Mœbius
Le Major - Jean Giraud Mœbius
40 Days dans le désert B - Jean Giraud Mœbius
Le chasseur déprime - Jean Giraud Mœbius
La faune de Mars - Jean Giraud Mœbius
Œuvres monumentales miniatures - Lazlo Parker
La Divina Commedia (illustré par Mœbius) - Dante Alighieri
Annexe :
Docteur Mœbius et Mister Gir Entretiens avec Jean Giraud - Numa Sadoul
Le petit panthéon Mœbius (vol. 1) Arzak - Isabelle Giraud
Médiathèque :
L’Incal (vol. 1, 2) - Jodorowsky & Mœbius
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. Pina Bausch Analyse d’un univers gestuel - Martine Beydon
. Choreography and dance volume 5 part 3 William Forsythe - dir. Senta Driver
. William Forsythe and the practice of choreography - dir. Steven Spier
. Suspense - William Forsythe
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. Federico Fellini Le métier de cinéaste - Rita Cirio
. Lanternes magiques Le monde fantastique des images lumineuses - dir. Frédérique Goerig-Hergott
. Caribs’ Leap / Western Deep - Steve McQueen
. Steve McQueen Works cat.
. All things shining: An Oral History of the Films of Terrence Malick - Paul Maher Jr.
. L’art de Le voyage de Chihiro - Hayao Miyazaki
. Storyboard Ponyo sur la falaise - Hayao Miyazaki
. Starting Point 1979-1996 (Entretiens) - Hayao Miyazaki
. Turning Point 1997-2008 (Entretiens) - Hayao Miyazaki
. Dans le studio Ghibli Travailler en s’amusant - Toshio Suzuki
. Le voyage de Chihiro - Eithne O’Neill
. cat. Hayao Miyazaki - Jessica Niebel
. Film Technique and Film Acting - V. I. Pudovkin
. Éclipses revue de cinéma Isao Takahata le réel animé
. Le Temps scellé - Andreï Tarkosvki
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. Kubrick An Odyssey - Robert P. Kolker & Nathan Abrams
. Stanley Kubrick – John Baxter .
. Stanley Kubrick – Vincent LeBrutto .
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. Stanley Kubrick and me – Emillio D’Alessandro
. Kubrick – Michael Herr
. Full Metal Jacket Diary – Matthew Modine
. Deux ans avec Kubrick – Frederic Raphael
. Stanley Kubrick: Interviews
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. Stanley Kubrick, New York Jewish Intellectual – Nathan Abrams
. Space Oddysey – Michael Benson
. Stanley Kubrick, l’humain ni plus ni moins – Michel Chion .
. Kubrick – Michel Ciment
. Stanley Kubrick produces - James Fenwick
. Stanley Kubrick, le cinéma au bord du monde – Philippe Fraisse .
. Stanley Kubrick – Pierre Guilani .
. Stanley Kubrick, Les Archives
. Le « Napoléon » de Stanley Kubrick – Alison Castle
. Stanley Kubrick, New perspectives - Collectif
. Magazine Positif numéro 464 Dossier Stanley Kubrick
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. L’orange mécanique – Anthony Burgess
. Le Merdier. Full Metal Jacket – Gustav Hasford
. Rien qu’un rêve / Scénario Eyes Wide Shut – Arthur Schnitzler
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. La tortue (Illustrations d’Irène Bonacina) – J. De Almada Negreiros
. Contes – Anderson
. Peter Pan – James Barrie
. Alice au pays des merveilles / De l’autre côté du miroir – Lewis Carroll
. Les aventures de Pinocchio – Carlo Collodi
. Contes de Noël – Charles Dickens
. Trois contes - Gustave Flaubert
. Contes – Grimm
. Le livre des fées, des elfes et des lutins (Illustrations d’Arthur Rackham) - Françoise Morvan
. Contes - Charles Perrault, éd. Tony Gheeraert
. Le Trésor des contes – Henry Pourrat
. L’Ickabog – J. K. Rowling
. La bibliothèque de Poudlard – J. K. Rowling
. Le Hobbit – J. R. R. Tolkien
. Le Petit Prince – Antoine de Saint-Exupéry
. Contes rebelles – Sous-commandant Marcos
. Les mille et un nuits (édition René Khawam)
Ebook :
. Jack et la grande aventure du Cochon de Noël - J. K. Rowling
Annexes :
. La clé des contes – Bernadette Bricot
. La voix des contes - Cyrille François
. Une faim de loup – Anne-Marie Garat
. Une robe de la couleur du temps – Jacqueline Kelen
Médiathèques :
. Psychanalyse des contes de fées – Bruno Bettelheim .
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. Le livre de Handala Les dessins de résistance de Naji Al-Ali
. Bleu Sang - Enki Bilal
. Rodolphe Bresdin, 1822-1885 Robinson Graveur - cat. Maxime Préaud
. Spirit Beings and Sun Dancers Black Hawk’s Vision of the Lakota World - Janet Catherine Berlo
. Héros du Blues, du Jazz et de la Country - Robert Crumb
. Histoire pittoresque et caricaturale de la sainte Russie - Gustave Doré
. Voyage en Espagne 1840 (Illustrations de Gustave Doré) - Théophile Gautier
. Perrault / Doré Contes illustrés
. La Fontaine / Doré Choix de fables
. The Doré Bible illustrations - Gustave Doré
. Doré’s illustrations of the crusades - Gustave Doré (1877)
. London A Pilgrimage - Gustave Doré & Blanchard Jerroldd
. Contes d’Andersen - Illustrations Edmund Dulac
. Dürer The Complete Engravings, Etchings and Woodcuts - Karl-Adolf Knappe
. Les Caprices - Francisco Goya
. Hiroshige - Matthi Forrer
. Cent Vues célèbres d’Edo - Hiroshige
. Sur la route du Tokaido - Hiroshige
. Hokusai - Matthi Forrer
. Hokusai Sur les traces du maître - cat. Rossella Menegazzo
. One Hundred Views of Mt. Fuji - Hokusai
. Les Fleurs précieuses du jardin mystérieux - Itô Jakuchû
. Matisse Œuvre gravé - Maeght éditeur
. Les Fleurs du mal (Illustrations Henri Matisse) - Charles Baudelaire
. Poésis (Illustrations Henri Matisse) - Stéphane Mallarmé
. Picasso. La suite Vollard cat.
. Contes de Grimm - Illustrations Arthur Rackham
. La grande guerre Le premier jour de la bataille de la somme - Joe Sacco
. Dessins Antoine de Saint-Exupéry - cat. Delphine Lacroix
. Martin Schongauer - Pantxika Béguerie-De Paepe & Magali Haas
. Lucas Van Leyden Peter Bruegel l’ancien Gravures - Jacques La Valleye
. Howling Wolf and the history of ledger art - Joyce M. Szabo
. Fantastique ! L’estampe visionnaire De Goya à Redon - cat. Valérie Sueur-Hermel
. 1848 (collections d’illustrations) - Georges Bourgin, Max Terrier
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Annexe :
. L’album RSF pour la liberté de la presse Riad Sattouf
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Médiathèque :
. Conte du Tsar Saltan - Alexandre Pouchkine Illustrations Ivan Bilibine
. Professor Knatschké - Hansi
. L’Assiette au Beurre croque les bigots Dessins anticléricaux d’une revue satirique - Ludivine Péchoux | 01
. L’histoire de miss kitty - Beatrix Potter Illustrations Quentin Blake
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Je ne suis pas collectionneur. Avoir tous les livres d’un artiste ne m'intéresse pas. Si je peux économiser de l’argent en évitant d'acheter des daubes, tant mieux. Tomi est l’exception. JE LES VEUX TOUS ! Ils sont parfois difficiles à classer car divers. Tomi a fait des œuvres dans plusieurs familles. Le classement ici a un but pratique.
Albums :
. Les aventures de la famille Mellops (1957, 1958, 1960 et 1963 pour les premières éd.) .
. Rufus (1961) .
. Les trois brigands (1963)
. Jean de la Lune (1966)
. Le géant de Zeralda (1967)
. Guillaume l’apprenti sorcier (1969)
. La grosse bête de monsieur Racine (1971)
. Je m’appelle PAPASKI (1971)
. Les histoires farfelues de Papaski (1971) (Mauvaise traduction.)
. No kiss for mother (1974)
. Pas de baiser pour Maman (1974)
. Flix (1997)
. Trémolo (1998)
. Otto (1999)
. Le nuage bleu (2000)
. Amis-amies (2007)
. Zloty (2009)
. Maître des brumes (2012)
. Juste à temps ! (2019)
. Comme ci et comme ça (2019)
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Œuvres de dessins seuls :
. Adam & Eva (sélection de dessins de 1968 et 1970, 1974 pour cette édition)
. Freut Euch des Lebens (1975, dessins préparatoire du livre Das große Liederbuch)
. S. M. Les anges gardiens de l’enfer suivi de Totempole (2000 pour cette édition, 1976 pour la première de Totempole, 1986 pour Les anges)
. Babylon (1979 pour la première édition)
. Rigor Mortis (1983)
. Slow agony (1983)
. Tomi Ungerer’s Schwarzbuch (1984)
. Kamasutra des grenouilles (première édition 1984, 2015 pour celle-ci)
. Tomi Ungerer’s Hintereinander (1991)
. Hallali Scènes de chasses (1999)
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Œuvres où les textes tiennent autant ou plus de place que les images :
. The Party (1966 pour la première éd. ang.)
. Far Out isn’t Far Enough Life in the Back of Beyond (1984 pour la première éd. ang.)
. Nos années de boucherie (1987 en fr.)
. L’Alsace En torts et de travers (1988)
. À la guerre comme à la guerre (1991 en fr.)
. Europolitain - Tomi Ungerer & Daniel Riot (1998) .
. De père en fils (2002)
. L’Alsace côté cœur (2003 pour la première éd. ang., 2004 en fr.)
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Textes :
. Acadie (2002)
. Vracs (2000)
. Ni oui ni non Réponses à 100 questions philosophiques d’enfants (2018)
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Illustrations :
. Beastly boys and ghastly girls - William Cole & Tomi Ungerer (1964)
. A storybook from Tomi Ungerer (1975)
. Tomi Ungerers Märchenburch (1975)
. Das große Liederbuch (1975)
. Heidi - Johanna Spyri (2 vol.) (1978, 1979 pour l’éd. fr.)
. Justiz - Friedrich Dürrenmatt (1985 pour cette éd.)
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Collections :
. Les animaux de Tomi Ungerer (1990)
. Les cartes postales de Tomi Ungerer - Patrick Hamm (1991)
. Poster (1994)
. Les chats (1998)
. Erotoscope (2001)
. Mes cathédrales - avec Jean Willer (2007)
. Ogres, brigands et compagnie (2011)
. Elephants, Whales & Kangaroos (2015, dessins de carnets des années 1957-1965)
. In extremis (2018)
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Annexe :
. La roue de l’énergie - dir. Thérèse Willer & Didier Guénin
. Les années canadiennes : « Here Today, Gone Tomorrow » - cat. Thérèse Willer
. cat. Tomi Ungerer et ses maîtres Inspirations et dialogues
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Balenciaga L’œuvre au noir cat.
Collections Femme 1989-2009 - cat. Martin Margiela
Alexander McQueen - Claire Wilcox
Alexander McQueen Savage beauty - Andrew Boltonn
Rick Owens - Terry Jones
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John Coltrane « Je pars d’un point et je vais le plus loins possible » Entretiens avec Michel Delorme
Chroniques - Bob Dylan
Talkin’ that talk Le langage du blues du jazz et du rap Dictionnaire anthologique & encyclopédique - Jean-Paul Levet
Three songs three singers three nations - Greil Marcus
Et si on parlait un peu d'Ali Farka Touré - Moussa Bolly
Surface Magazine n° 134 The art issue Kanye West
Jazz Magazine n° 649 50 ans de musiques noires 150 disques essentiels
Tsugi magazine n° 45 Labels indépendants tous ensemble !
Les Inrocks Hors série Prince génial. provocant. éternel
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Le Chef-d’œuvre inconnu et autres nouvelles - Honoré de Balzac
Le livre de sable - Jorge Luis Borges
La bohémienne de Madrid - Miguel de Cervantès
Un cœur faible - Fédor Dostoïevski
La Douce - Fédor Dostoïevski
Le rêve d’un homme ridicule - Fédor Dostoïevski
Les Indes Galandes - Roger Nimier
Les nouvelles de Pétersbourg - Nikolaï Gogol
Dublinois - James Joyce
Ebook :
Trilogie Nos ancêtres Le Vicomte pourfendu - Italo Calvino
La Métamorphose - Franz Kafka (1912)
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. Bacon Œuvres 1944/1982 - L. Trucchi
. Basquiat - Leonhard Emmerling
. Basquiat cat.
. Hieronimus Bosch L’œuvre complet - Stefan Fischer
. Botticelli - Frank Zöllner
. Georges Braque cat.
. Bruegel et l’hiver - dir. Tine Luk Meganck & Sabine Van Sprang
. Cézanne - Ulrike Becks-Malorny
. Delacroix - cat. Sébastien Allard & Côme Fabre
. Sonia Delaunay Les couleurs de l’abstraction cat.
. Gauguin L’alchimiste - cat. Claire Bernardi & Ophélie Ferlier-Bouat
. Roger-Edgar Gillet Guignol’s Band cat.
. Le retable d’Issenheim Le chef-d’œuvre du musée Unterlinden - Matthias Grünewald, dir. Pantxika Béguerie-De Paepe & Magali Haas
. The 300th Anniversary of his Birth: Jakuchu cat.
. Matisse - Pierre Schneider
. Chapelle du Rosaire des Dominicaines de Vence par Henri Matisse
. Dance me to the end of love Poem by Leonard Cohen Paintings by Henri Matisse
. Picasso Bleu et rose cat.
. Olga Pablo Picasso - cat. Émilia Philippot & Joachim Pissaro & Bernard Ruiz-Picasso
. Guernica - cat. Émilie Bouvard & Géraldine Mercier
. Le dernier Picasso 1953-1973 cat.
. Les Picasso d’Arles cat.
. Picasso, le héros - Philippe Sollers
. Picasso et les Ballets russes Entre Italie et Espagne cat.
. Picasso et son temps
. Ike Taiga and Tokuyama Gyokuran Japanese masters of the brush - cat. Felice Fisher & Kyoko Kinoshita
. Van Gogh L’œuvre complet Peinture - Ingo F. Walther & Rainer Metzger
. Van Gogh / Artaud Le suicidé de la société cat.
. Les arbres de Van Gogh - Ralph Skea
. Les jardins de Van Gogh - Ralph Skea
. Vermeer L’œuvre complet - Karl Schütz
. Léonard de Vinci Tout l’œuvre peint et graphique - Frank Zöller
. L’art figuratif en Islam médiéval - Michael Barry
. Icônes Les arts chrétiens d’orient au petit palais - cat. Raphaëlle Ziadé
. Dream realities images The image of the republic in modern Turkish painting cat.
. Ceské Gotické Umeni - Albert Kutal
Annexe :
. La torpeur des Ancêtres Juifs et chrétiens dans la chapelle Sixtine - Giovanni Careri
. Cézanne vu par… - dir. Laure-Caroline Semmer
. Écrits et propos sur l’art - Henri Matisse
. Pablo Picasso Paroles d’artiste
. Conversations avec Picasso - Brassaï
. Voyage en Picasso - Hélène Parmelin
. Les Demoiselles d’Avignon - Dominique Dupuis-Labbé
. Télérama Hors-série Picasso
. Rembrandt L’humanité - Pascal Amel
. Chardin et Rembrandt - Marcel Proust
. Art et religion de Chauvet à Lascaux - Alain Testart
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. Machines insurrectionnelles, une théorie post-biologique du vivant – Dominique Lestel & Killoffer
. Trilogie terrestre – Frédérique Aït-Touati & Bruno Latour
. Ce à quoi nous tenons – Émilie Hache
. Quand les espèces se rencontrent – Donna Haraway
. Vivre avec le trouble - Donna Haraway .
. Pasteur : guerre et paix des microbes – Bruno Latour
. La science en action – Bruno Latour
. Nous n’avons jamais été modernes – Bruno Latour
. Jubiler ou les tourments de la parole religieuse – Bruno Latour
. Enquête sur les modes d’existence – Bruno Latour
. Face à Gaïa – Bruno Latour
. Où atterir ? – Bruno Latour
. Où suis-je ? – Bruno Latour
. Paris ville invisible - Bruno Latour & Émilie Hermant
. Le philosophe la Terre et le Virus – Patrice Maniglier
. Latour-Stengers, un double vol enchevêtré – Philippe Pignarre
. Cosmopolitiques – Isabelle Stengers
. Apprendre à bien parler des sciences, la vierge et le neutrino – Isabelle Stengers
. Activer les possibles, dialogue – Isabelle Stengers | 01
. Résister au désastre, dialogue – Isabelle Stengers
. Au risque des effets – Isabelle Stengers, Didier Debaise
Médiathèque :
Ebook :
Réactiver le sens commun - Isabelle Stengers
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. In the National parks - Ansel Adams | (Cadeau de mon père, juillet 2023 ; Il y a des choses vraiment magnifiques, un sens de la réalité très fin. Mais beaucoup trop de photos !!! Il faut faire un editing monstrueux.)
. An autobiography - Richard Avedon | (Je ne sais plus quand je l’avais acheté, peut-être 2020 ou 2021. C'est un livre qui me hante. Les humains sont si intéressants à travers ses images... J'échangerai ce livre contre tous ceux de reportages et documentaires que j’ai. Autant je suis ennuyé par le manque de curiosité de ces derniers pour tout ce qui n’est pas humain, autant ce livre, je suis envoûté ! Ce qui m’impressionne, c’est sa capacité à nous faire nous sentir regardé. 24/07/23)
. One and one is Four: The Bauhaus Photocollages of Josef Albers - Josef Albers, Meister | (Je l’avais trouvé au Moma à New York. L’époque des Raffinés. Surprise quand j’ai vu cet ancêtre des compositions photographiques que j’étais en train de faire. Je me souviens avoir montré le livre à Nicolas à mon retour. | Parler de photocollage est, à mon avis, une erreur. Dans le texte il mentionne ceux de Moholy-Nagy et Hannah Höch qui, effectivement, n'ont rien à voir. Là, c’est ce qu’on a habituellement en tête lorsqu’on parle de photocollage. Ça relève d’un registre visuel qui est finalement plus proche de la peinture ou du dessin, mais avec des bouts de photographies. Personnellement ce n’est pas un truc que j’apprécie beaucoup. Je connais les collages de Tomi Ungerer, qui sont rigolos, inventifs mais infiniment moins intéressants que ses dessins. Ce que fait Albers se situe plutôt dans le registre de la photographie. C’est des compositions photographiques plus que des collages. Peu importe qu’il utilise de la colle ! Il faut regarder le résultat, qu’est-ce que ça crée. C’est très similaire à ce que fait Jacques Henri Lartigue dans ses albums. Pour Joseph les plus réussite sont celles-ci : 29, 33, 35, 43, 47, 49, 75, 93. Là, il s’y passe quelque chose de propre à la photographie. C’est très beau.)
Fort de Saint-Cyr - Martin Becka (Offert par mon éditeur. 06/08/24 Au début j’étais sceptique, je me suis dit que ça allait m’emmerder. Encore un qui veut faire « comme avant ». 08/08/24 Excellent livre, je confirme. Il y a dans cet itinéraire au fort Saint-Cyr, en parallèle, un itinéraire avec la photographie. Un itinéraire qui nous fait sentir l’existence, et certaines spécificités de la pratique photographique. Très inspirant. | L’enchaînement de l’image de l’affût du canon au schéma/croquis bleu du mécanisme est génial. Bon editing. Réalisation de l’objet parfaite, notamment le papier. 17/08/24)
. Ray’s a laugh - Richard Billingham (première éd. 1996, 2024) | (J’ai du mal à comprendre le choix de ce genre de reliure pour un livre où il y a tant de photo pleine page avec un sujet centré. Photos totalement gâchées par la coupure du milieu. Vu le prix du livre, ils n’ont pas l’air de se soucier de ce genre de « détail ». | C’est très frustrant. Quel mauvais choix éditorial. Triste. La photo très lumineuse de ses parents qui s’embrassent est si belle ! Malheureusement la mère est coupée en deux exactement comme sur une photo précédente avec une scène similaire… Les deux photos en sont presque gâchées. Je déteste les éditeurs qui gâchent des chefs-d’œuvre. | Jamais deux sans trois. La mère coupée dans la deuxième photo de bisous, sur le canapé cette fois. Sans compter tous les portraits incroyables du père, eux aussi gâchés. | Oh mon dieu ! Le diptyque du chat et du dos du père ! J’ai fait exactement le même dans La danse des relations avec minette et un portrait de mon père. | Ce qui est fou, ce n'est pas la coïncidence, mais comment deux choses apparemment si proches, peuvent provoquer des émotions si différentes. La douceur, le calme de mon diptyque n’a rien à voir avec les grincements de celui de Richard. Magnifique. Ce métier m’étonnera toujours. | Ce qui est frappant c’est la différence des lumières et les effets qu’elles provoquent. « […] We talked a lot about lighting and how lighting was used to make emotional and psychological statements… […] » (Gregory Nava à propos d’une conversations avec Stanley, Kubrick An Odyssey p. 473) | Il n’y à presque aucune autre association d’images de ce type j’ai l’impression. Il y a le diptyque du chat perché et le mec perché (son frère j’imagine). 12/04/24 | C’est intéressant comme il nous isole du dehors. Avec parfois une « ouverture », point de vue depuis une fenêtre ou un toit (?) sur la ville. Mais le sentiment n’est pas celui d’une ouverture vers l'extérieur, au contraire. | Il est extrêmement difficile de se faire une idée précise de l’appartement. Et pourtant il y en a des tonnes d’images. Ce n’est pas du tout un travail de description. Très difficile de se repérer dans l’appartement. | À avancer dans le livre, on découvre de nouveaux détails dans l'appartement qui apparaissent comme par magie. Les fenêtres et les pièces qu’on voit sont difficilement situable entre elles. Combien y a de fenêtres ? Ou est telle pièce par rapport à telle pièce ? L’editing ne semble pas du tout vouloir aider. C’est très fort. | Des photographes avec un style similaire (floues, flash, etc.) j’en ai vu des tonnes. Instagram en est plein. À peu près tous et toutes minables. Persuadés de faire une photographie libérée des règles, cool, « fait l’air de rien » ; et effectivement il n’y a rien. Rien de cela chez Richard. C’est un grand photographe, très précis, qui a pigé ce que peut faire la photographie. 27/04/24 | Je viens de regarder la première édition sur internet (01, 02). Le nouvel editing est infiniment mieux ! Il faut un surplus d’image pour un travail comme ça. 28/04/24))
. La mort en marche - Robert Capa
. Robert Capa La Collection - dir. Richard Whelan
. Robert Capa Icônes - dir. Michel Lefebvre (Bon livre, c’est bien de mettre les mises en pages de l’époque. Mais à quand un livre sur Capa qui le critique explicitement sur son engagement en faveur d'Israël et sur ses immondes photographies de 1948 ? Capa l’anti-fasciste sioniste ! Il n’y en a pas un mot ici. Aucun courage ou alors l’auteur pense pareil. Sur le sujet.)
. Scrapbook - Henri Cartier-Bresson
. Images à la Sauvette - Henri Cartier-Bresson (1952) | (Je me rends compte que j’avais un peu négligé le texte d’introduction. Il est en fait excellent. Très nuancé. Il suffirait aux critiques de HCB de lire les deux premières pages pour y trouver la nuance au « HCB = Instant décisif » | Je relève un moment marrant, typique du photographe européen moderne. Une phrase il dit : « Ce métier tient tellement aux relations que l'on établit avec les gens, […] », phrase suivante « Ici encore, pas de système, sinon de se faire oublier ainsi que l'appareil qui est toujours trop voyant. » … En relation avec les gens mais je fais comme si j’étais pas là ! Ça a le mérite d’être honnête. | Chapitre « Le sujet » parfait jusqu’à « Il y a un domaine […] » à partir de là ce chapitre est catastrophique. Il aurait dû s’arrêter. C’est le seul morceau du texte qui est faible. Le reste est vraiment bien, nuancé, intéressant, personnel et pas du tout dogmatique. C’est un des meilleurs textes de livre de photographie que je connaisses 01/09/23)
. Chine 1949/1958 - Henri Cartier-Bresson
. À propos de l’URSS - Henri Cartier-Bresson
. Le silence à l’intérieur d’une victime consentante - Henri Cartier-Bresson .
. Europeans - Henri Cartier-Bresson
. La voix du Nord septembre 2010 - Henri Cartier-Bresson
. William Eggleston’s Guide - William Eggleston
. The lines of my hand - Robert Frank (1972)
. Made in Germany - Leonard Free (1970) | (Le travail sur les légendes est intéressant. Il y a un jeu assez complexe entre les images et les légendes qui s’éloignent facilement de ce que l’on voit dans les images correspondantes. Elles sont bien écrites avec de la personnalité. 23/10/24)
. Vietnam Inc. - Philip Jones Griffiths (1971) | (Trouvé à Gilbert Joseph après avoir vendu deux mauvais catalogues d’exposition sur HCB et Dorothea Lange. 24/07/23 | Je le regarde petit à petit. Il est vraiment excellent, très intelligent. | Par contre je comprends pas les retouches horribles sur presque toutes les photos ???!!!! Qui est-ce qui a fait un travail aussi bâclé ??? Ça gâche presque les images. 28/07/23 | C’est pas le meilleur photographe qui existe. Il y a parfois des fautes de goûts notamment (en dehors des retouches ratées) des portraits d’enfants-aux-beaux-yeux-tout-mignon style National Geographic. Même si je ne pense pas que ce soit son intention, je trouve parfois les images « un peu trop ». Un peu trop noir. Mais l’ensemble est tellement bien fait, les textes si bien écrit, que c’est pardonnable. 30/07/23 | J’admire vraiment ce travail. Il a cette qualité rare du grand photojournalisme de faire ressentir des actions, des événements, de faire ressentir un rapport au temps particulier, que j’ai encore du mal à décrire, mais qui n’a absolument rien à voir avec le temps d’un American photographs ou de la Fresque. | Je répète malgré tout ma petite critique du style des photos : pourquoi si sombre ? Si noir ? Est-ce parce que la guerre c’est sombre et noir ? Je ne suis pas du tout contre la dramatisation dans le journalisme et le documentaire, au contraire, ça peut être très utile. Mais seulement, si on dramatise, il faut bien le faire. Et je ne suis pas sûr que ces images nécessitent beaucoup de dramatisation, vu ce qu’on y voit... Je ne connais pas ses intentions et je me trompe peut-être. C’est juste un ressenti. C’est un peu dommage, car il sait très bien nous prendre à l’intérieur de ses reportages. | Cette surcharge d’images est très efficace. C’est étonnant comme c’est bien rythmé images/textes. Surcharge nécessaire. 07/08/23 | Il flirte avec le documentaire c’est évident. C’est les textes qui me font dire ça. Mais les photographies, qui guident l’œuvre, sont bien de la famille photojournalisme. Et pas à moitié. | Le diptyque final des mains est bouleversant. | Il a réussi avec ce livre ce que celui de Matthias Bruggmann rate. Voilà un exemple de l’importance de l’editing, de l’intelligence, non pas seulement de prendre de bonnes photographies, mais de bien les utiliser. | Ce livre est un chef-d’œuvre, aucun doute. On en ressort pas indemne, il nous change. 08/08/24 | Un peu déçu par Dark Odyssey. Très bonne photos, mal utilisées. Celles du Vietnam, retirée de leur narration, perdent beaucoup. | Le texte pour Eden est un peu naïf non ? De façon générale, le classement des chapitres est mauvais. 09/08/23)
. Devant Verdun - Jacques Grison (Donné par mon éditeur (à ma demande). J’étais curieux. Finalement c’est pas ouf. | C’est pas un bon photographe mais il y a des choses intéressantes, dans la façon d’aborder et de présenter un lieu. | Les textes sont assez ennuyeux. | Avec un bon editing élagueur on pourrait rendre le livre plus puissant. Trop d’images. C’est rare les photographes qui savent bien doser le nombre d’images nécessaires. 24/08/24)
. The pleasure of reading - André Kertész (Je crois, un des premiers livres de mon éditeur. Offert à l’occasion de son pot de départ de l’école EFET ; Le format poche n’est pas adapté à la photographie.) .
. The perfect moment, catalogue - Robert Mapplethorpe
. Notre-Dame La cathédrale de Viollet-Le-Duc - Médéric Mieusement
. Yellow press - Helmut Newton
. SUMO - Helmut Newton
. Sex and landscapes - Helmut Newton
. Polaraids - Helmut Newton
. Les Indiens & la nature - Françoise Perriot .
. Encampment, Wyoming - Lora Webb Nichols
. Resonance - Irving Penn (Cadeau de mon père, octobre 2014. ; Je n’aime pas trop.) .
. Catalogue Moderna Museet Stockholm - Wolfgang Tillmans (Pas très bien. Mal imprimé) .
. Vue d’en haut catalogue - Wolfgang Tillmans (Aucun intérêt) .
. Truth study center / Burg / WT - Wolfgang Tillmans
. Neue Welt - Wolfgang Tillmans
. Wako Book 5 - Wolfgang Tillmans
. DZHK BOOK 2018 - Wolfgang Tillmans | (Je redécouvre ce livre, que j’avais un peu oublié dans ma bibliothèque. Disons que je le connaissais mais l’avais pris pour un petit catalogue parmi d’autres comme le Wako Book (peu d’intérêt, c’est une sorte de face B de Neue Welt). Je me rends compte qu’il est en fait bien supérieur à cela. D’abord les photos sont meilleures que dans Neue Welt. On sent que les années ont passé, il maîtrise mieux la photographie numérique. Les couleurs sont sublimes. Ensuite, c’est plus modeste que Neue Welt. Les grands projets ambitieux ne sont pas abordables à tous, il faut avoir les épaules pour les porter. Il y a beaucoup de diptyques très simples qui fonctionnent à merveille. Et même ses abstractions, que je trouve à mourir d’ennui habituellement, fonctionnent ici très bien en diptyque (contexte!). Enfin, il est intéressant de voir une majorité de photographies prises dans UN pays, ici la Chine. Il évite le côté parfois superficiel (péjoratif) de Neue Welt. Le truc du « je reste pas longtemps dans chaque lieu ». ; Le format du livre est super. Dommage que l’interview de fin n'ait pas été faite après la création du livre… ; Il y a des photos de plantes qui sont presque aussi bonnes que les miennes. ; Je me pose une question : Wolfgang a-t-il déjà été capable de bien décrire un lieu ? 19/09/23)
. Qu’est-ce qui est différent ? - Wolfgang Tillmans (Ennuyeux) .
. FESPA Digital / FRUIT LOGISTICA - Wolfgang Tillmans
. The cars - Wolfgang Tillmans
. 2017 - Wolfgang Tillmans (Exposition vue avec Nicolas. On était un peu déçu. Catalogue ennuyeux.) .
. NUCLEO - Wouter Van de Voorde (2023)
. Magnum Analog Recovery - Collectif
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Annexes :
. Cartier-Bresson - Pierre Assouline
. « Voir est un tout » Entretiens 1951-1998 - Henri Cartier-Bresson
. L’homme photographique - Michel Frizot
. Le Style documentaire - Olivier Lugon | (Ce livre est passionnant. Je l’avais acheté il y a plusieurs années en ne lisant que le début. Ça m’ennuyais à l’époque. Je le lis pour mieux définir les différences entre la famille reportage-documentaire et ce que fait Wolfgang et moi. Le point cinq du texte de la Fresque me donne beaucoup de mal. 06/07/23)
. Lettres (1816-1817) - Nicéphore Niépce
. Lettres (1825-1829) - Nicéphore Niépce
. Le troisième œil - Odette Joyeux
. Niépce, correspondance et papiers - Manuel Bonnet & Jean-Louis Marignier
. Walker Evans A Biography - Belinda Rathbone | (Bonne biographie. | Si Walker est un frère d’images, la fraternité s’arrête là. Sa misogynie le rend infréquentable (chapitre 8). 12/09/24)
. Gene Smith’s Sink A wide-angle view - Sam Stephenson
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For Now - William Eggleston
Americans photographs - Walker Evans (1938) | (Pour accompagner la lecture du Olivier Lugon je suis allé à la médiathèque, j’ai trouvé notamment ce livre. Je ne me rappelle plus si je l’avais déjà feuilletée par le passé. Je découvre vraiment maintenant. Quel chef-d’œuvre ! Magnifique, extraordinaire. Le rythme, la structure, la diversité de style, les associations, tout est génial, quelle danse des relations exceptionnelles ! Après avoir avalé tant de reportages-documentaires ces derniers temps, enfin je respire ! Enfin je trouve un frère ! Ma famille ! Je suis très émue. | Le texte à la fin est naze. 05/07/23 | J’ai reçu ma copie. | Le pouvoir d’une bonne mise en page me fascine. Peu importe la taille du livre, si c’est mal mis en page rien ne se passe. Un grand livre mal mis en page ne vous transportera pas plus dans l’image « parce que c’est plus grand ». Je suis resté bloqué 10 minutes sur la photo du barber shop avec la femme devant. Mise en page parfaite. Je suis complètement envoûté, pris par l’image grâce à la parfaite association entre la mise en page et la photographie. C’est comme une fenêtre. | La 21 est d’une perfection rarement égalée… La lumière… 26/07/23 | La 21… Je ne m’en remets toujours pas. La paire avec la 22 est exceptionnelle, de la grande photographie. Stylistiquement tout les oppose, mais grâce à la chorégraphie, la danse vient… | C’est fou comme ces deux photos sont vivantes, et de manière complètement différentes. Mais c’est indéniable, ces maisons, cette fumée, ce ciel, cet arbre et cette lumière existent autant que cette famille dont je n’entends évidemment pas la voix, mais dont je sens l’existence, leurs voix existent en silence mais existent bien ici, photographiquement. 03/08/23 Ce jeu des images/cadres au début du livre est merveilleux. C’est comme s’il parlait avec les images et disait : « Voici ce que peut faire la photographie ». | Le passage de la troisième photo (deux mecs avec un fond sublime de visages floutés) à la suivante (homme dessiné, cadré deux fois, et rendu aussi vivant que les hommes de la page précédente) sont extraordinairement mystérieux. Exactement la même sensation avec la 9 et 10. Grâce à la photographie et à l’abstraction qu’elle permet, mais grâce surtout à la danse de relations que Walker fait, ce couple peint vie autant que le couple « vraiment vrai » de la page suivante. | J’ai peur que ce soit moi qui mette des significations hors propos sur ses images, mais le début du livre a tellement de signes explicites qui disent : C’EST ÇA LA PHOTOGRAPHIE, que je me rassure. 14/04/24 | Le défaut du livre c’est d’avoir traité les deux parties de la même manière. La première est parfaite. Les images uniques en page de droite fonctionnent parfaitement. Ce n’est pas plat grâce à la variété des styles et à la danse de Walker. Mais ce n’est pas le cas de la deuxième partie. Le style des photos est moins varié, ce sont d’autres besoins qui ne peuvent être traités de la même façon. Alors soit il faut une autre mise en page adaptée pour elles, soit il faut en réduire le nombre. Je pourrais essayer de faire la deuxième option. 26/04/24)
The Americans - Robert Frank (1959) | (C’est intéressant d'ouvrir ce livre après celui d’Evans. On doit se forcer à changer presque complètement de regard. Je ne sais pas si en parler comme deux livres complémentaires est la plus intelligente façon de les prendre. Celui d’Evans reste supérieur à peu près sur tous les niveaux. Plus divers, plus intelligent, plus vivant. Evans est beaucoup moins imitable que Frank. Et si dans celui d’Evans on peut trouver certaines photos qui ont un style similaire à celui de Frank, dans le livre de ce dernier il n’y a aucune photo similaire à la diversité de style d’Evans. Frank a une teinte de couleur qu’il maîtrise très bien, Evans à une large palette de couleurs qu’il maîtrise très bien. 27/07/23 | Toutes ces mini-séries de 2,3,4 images sont vraiment bien. Parfois autour d’une thématique commune ou parfois autour de motifs visuels qui libèrent l’imagination. Dans les deux panneaux de la Fresque de la zone centre-ville j’ai fait de nombreuses mini-séries au milieu du flot d’images aléatoires d’immeubles. 28/07/23 | J’ai acheté une copie. La petite édition est bien meilleure que la grande. | certains cadrages sont plus grands ! | J’ai exagéré avant-hier en disant que le Frank était moins vivant que l’Evans. Et je vois bien maintenant que son style n’est pas aussi monochrome qu’on peut l’imaginer au début. Je maintiens tout de même ce que j’ai dit sur la plus grande diversité d’Evans. | La structure est vraiment passionnante. On dirait qu’elle avance et se découvre en même temps que les photos défilent. La phrase de Coltrane « Je pars d’un point et je vais le plus loin possible » s’applique ici. On dirait qu’il part d’un point, une première photo, et qu’il continue, deuxième photo, troisième photo, l’une après l’autre sans penser à la fin, ni même à deux photos plus loin. Quand il voit la possibilité d’une mini-série il y va, et puis s’arrête 3-4 photos après s'il le sent, et passe à autre chose. La fin du livre est remarquable : il démarre une de ces mini séries avec la photo « soirée caritative - New York City ». Photo suivante : un homme assis à table, mais une table bien différente de la précédente. « Drugstore », il continue l’improvisation à partir du point Soirée caritative/À table/Restaurant. « Buvette ». Ensuite il change de série, nouveau point de départ : un couple. Suivante, un couple. Ensuite, nouveau point de départ. Mini série de 4 photos Jardin public/Aire de repos etc. (Moi ce qui me frappe visuellement c’est les arbres !). Ensuite, nouveau point de départ : encore des voitures ! Qu’il mélange magistralement avec des motifs récurant du livre, Couples/Religion et on finit en grâce sur sa femme et son fils, dans une voiture… 29/03/23 | C’est fou à quelle point cette petite édition est mieux que la grande. Les impressions sont quinze fois mieux, le format est parfait, et les légendes en face des photos sont les accompagnatrices idéales de la narration. Pas besoin de plus. | Le seul truc que je préfère dans la grande édition c’est à la fin les trois photos du négatif avec écrit le prénom de sa femme et son fils. C’est très beau. | Tout comme Wolfgang, ses photos perdent beaucoup de force isolée des autres. C’est là aussi le truc qui met Evans sur le niveau supérieur à Frank. Evans peut faire beaucoup d’images qui tiennent d’elles-mêmes, tout en étant un maître des relations. Comme HCB : Michel Frizot à bien écrit sur ses images qui condense versus les images d’une histoire 30/07/23 | Le seul truc de nul avec ce livre c’est le titre. À la limite Les Américains et moi aurait été plus juste mais pas plus inspiré. Sinon le reste c’est parfait. 02/08/23 | J’enlèverai qu’une seule image du livre, celle de la femme noire portant le bébé blanc à Charleston. Je la trouve moins réussie, trop propre. J’ai pas l’impression que c’est le Frank de ce livre qui l’a prise 03/08/23 | Je me demande si le titre du livre d’Evans n’irait pas mieux à celui de Frank et inversement. Sérieusement, Frank dit-il tant de choses sur les Américains ? J’ai plutôt le sentiment qu’il en dit plus sur lui. 08/08/23)
Exils - Josef Koudelka | (Magnifique découverte ! Regardé avec Sarah à la Qatar National Library 15/07/23 | En fait, il fait dans Exils ce que HCB fait dans la première partie d’Images à la sauvette, on est dans cette famille de photographie. Josef le fait beaucoup mieux, il va plus loin. Son rapport à la photographie le lui permet. Le texte génial de Frizot dans La fabrique d’Exils me le confirme (voir section Méthode (la bonne photo)). Josef est bien meilleur que HCB au truc de la « photo unique ». C’est marrant qu’au final ce soit HCB qui est hérité de l’étiquette obsédé de la photo unique, alors que ses véritables chefs-d’œuvre sont des « stories-histoires-reportages ».)
Neue Welt - Wolfgang Tillmans
NUCLEO - Wouter Van de Voorde (2023) | (Très inspirant. | Intéressant comme la forme du livre sert le propos des photos « nourris et protégés par ce territoire ». | J’admire la simplicité avec laquelle il réussit à abstraire la photographie. Trop de photographe dérive sur autre chose dès qu’ils veulent abstraire. 22/02/24 | Les photographes sont parfois des sorciers. 28/04/24 | Avec ce livre, il a créé un lieu. Un terrain de vie dans lequel on peut aller en l’ouvrant, l’explorer, y ressentir des émotions, chercher des secrets. | Ce soir, ce sont pour moi des images rassurantes, apaisantes, avant de retrouver le monde trouble demain. 29/04/24)
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Médiathèque :
. Times Passes - Robert Adams
. Que croire là où nous sommes ? - Robert Adams (Bon livre. Très belle questions dans l’introduction. Dommage qu’il ne soit pas très bien imprimé. Un papier moins épais et des images un peu plus grandes aurait été mieux. La photographie page 68 est extraordinaire. Toute la fin à partir de la page 90 est très belle. Très simple. Les quatre dernières images sont parfaitement utilisées. 16/08/23) | 01
. Atget Voir Paris - dir. Anne de Mondenard, Agnès Sire | (C’est très intéressant. Il est effectivement un grand photographe. Mais s'il innove et ouvre des portes, il ne perfectionne rien. Tout ce qu’il fait – si je suppose que la diversité de son travail se retrouve dans ce livre – Walker le fait en quinze mille fois mieux. 08/09/24)
. Au commencement - Diane Arbus
. Diane Arbus monographie - Diane Arbus
. Sans allusion - Richard Avedon
. Helvetica - Werner Bischof | (Format possible pour le livre Arabesques ? 07/08/23)
. Un acte d’une violence indicible - Matthias Bruggmann | (Livre très bien imprimé. ; C’est un bon travail mais je trouve qu’il est mal utilisé. Premièrement les images sont un peu trop indépendantes de leurs légendes. Et les légendes, mises à la fin, sont comme d’habitude, pas pratique à lire. Ça casse le rythme de lecture des images. Sans parler du sens inversé qui rend le livre encore moins pratique. En le regardant, je pense au Vietnam Inc. de Griffiths, qui est parfaitement dosé entre textes et images. Alors qu’ici, la mise en page des images et l’abondance des légendes s'annulent mutuellement. Pourtant ni les images ni les légendes ne sont mauvaises en soi, bien au contraire. Vraiment dommage, c’est un exemple de mauvais travail éditorial qui gâche un bon travail de photographie. ; Ces photos me rappellent à quel point j’aime la photographie numérique. Il a un bon sens des lumières, des couleurs, il me fait sentir la réalité (exemples 44, 54, 58, 71 etc.). Contrairement à celles et ceux qui aujourd’hui ne peuvent pas s’empêcher de mettre des filtres affreux pour rattraper leur manque de sensibilité visuelle... ; Les images au format vertical lui iraient très bien. ; Excellent photographe qui ne sait pas bien utiliser ses photos dans un livre. Je me demande aussi : c’est du reportage ou du documentaire ? En regardant les photos je dirais reportage. En lisant les légendes je me dis documentaire. C’est dommage. Cette ambiguïté ici, n’est pas positive. ; Je suis très déçu. Ces photographies sont très importantes, à l’évidence Matthias est un excellent photographe (je ne le dis pas souvent), ce travail est très intelligent, divers, très juste. Et il est gâché par un livre insupportable à manipuler, mal organisé, mal édité. Je ne dis pas ça en tant qu'amateur qui aime les bons livres. Je dis ça parce qu’un travail comme celui-là peut être utile pour tout le monde. Il pourrait rendre sensible des réalités contemporaines. Ma comparaison avec le Vietnam Inc., sortie alors que la guerre se déroulait toujours, n’est pas anodine. Je ne vois pas comment un livre fait de cette manière peut sortir d’un public restreint. J’espère me tromper. Matthias, si un jour tu lis cette note, éditons un livre ensemble avec ces images. JE T’AIME MATTHIAS ! 25/07/23 ; Je reconfirme. Je suis désespérée. Les images sont vraiment excellentes, et à l’évidence elles ont une relation de dépendance assez importante avec leur légendes. Et dans ce cas, ce n’est pas du tout péjoratif, au contraire. Alors POURQUOI avoir choisi une mise en page aussi peu pratique ? POURQUOI ? Je ne comprends pas. Le format du livre donne l’impression d’avoir été choisi pour les textes de la fin et pas le travail du photographe. Petit format pratique à lire comme n’importe quel livre, contrairement aux grands livres de photographies où les textes qui prennent toute la page sont intimidants et tout de suite décourageants. ; Comment peut-on penser une seconde que cette mise en page est la bonne ???? C’est insupportable je comprends vraiment pas. Était-il si compliqué de garder la même taille pour les photos (parfaites) mais DANS LE BON SENS ? Le livre n’aurait pas été immense ! Ça aurait été à peine plus grand que American photographs, les photos auraient été très élégante et il y aurait eu la place de mettre les textes correspondant en face. ; Je ne suis pas du tout contre une mise en page répétitive. Mais parfois ça pourrait changer un peu le rythme, le dynamiser ou l’apaiser. ; L’excellente photo 58 ne mériterait pas d’être plus grande ? ; J’ai l’impression qu’ils ont voulu faire deux choses différentes : un livre de photographie simple pour laisser parler les images et un livre avec beaucoup de textes (120 pages avec les légendes !!!). Du coup, au lieu d’aller au bout d’un seul de ces objectifs ils ont coupé au milieu. Catastrophique. J’ai presque envie de découper chaque photo individuelle et de les mettre dans un album avec les textes en face… ; La manière dont il intercale les photos sur les tournages est géniale (exemple 68 à 76) ; La texture de ces photographies est tellement bonne que j’ai la sensation de toucher avec les yeux (exemple 88). Vive la photographie numérique ! ; Le seul léger reproche que je peux lui faire c’est d’être presque toujours un peu détaché de ce qu’il photographie. Il est très moderne. 26/07/23)
. René Burri Photographies - René Burri, Hans Michael Koetzle (Superbes mise en page ! Le truc des bandes de couleurs est très bien. Il en faut peu. C’est fantastique parce que tout en gardant leur force d’une autre époque ils arrivent, avec cette mise en page, à les rendre contemporaines. Contrairement aux mises en pages soi-disant neutres de ce genre de monographie, qui aplatissent tout. ; Par contre il n’échappe pas au problème qu’on toutes ces énormes monographies : à force de vouloir couvrir l’ensemble de l'œuvre, on passe superficiellement sur tout et n'approfondit rien. Je dois avouer ne pas voir ce qui fait de Burri un grand photographe. Il faudrait sélectionner seulement quelques reportages et y aller à fond. ; C’est en s’inspirant des mises en page des magazines de l’époque qu’on ne peut que réussir une monographie de ce genre. 20/08/23 ; Bon finalement c’est pas si bien. C’est un peu trop, ces mises en page. Trop grand. Et l’editing est catastrophique. En tout cas, je ne comprends pas pourquoi Burri est un grand photographe après avoir vu ce livre. J’en chercherai d’autres. 21/08/23)
. Juste un peu flou - Robert Capa
. Journal Russe - John Steinbeck, Robert Capa
. Capa connu et inconnu - Robert Capa
. Scrapbook - Gilles Caron (Livre intéressant, les photographies le sont moins ; Le reportage sur la guerre des six jours en 1967 au côté d’Israël me dégoûte. 29/06/23 Je viens de regarder Gilles Caron 1968 (Michel Poivert). Je confirme, c’est un photographe médiocre. On ne s’y intéresserait pas beaucoup s'il n’était pas mort comme ça. Il y a trois ou quatre bonnes photos dans ce livre. 28/04/24)
. HCB en Indes - Henri Cartier-Bresson (1985)
. L’Amérique furtivement - Henri Cartier-Bresson (1991)
. Berlin - Raymond Depardon | (Bon exemple de mauvais livre de reportage. TOUT y est médiocre. 15/07/23)
. La terre des paysans - Raymond Depardon (Comment peut-on publier quelque chose d’aussi médiocre ? Il n’y a personne dans l’entourage de ces « stars » pour dire : « Raymond, je t’aime, mais ça c’est de la merde. » 22/06/23 | Adieu Saigon. Assez médiocre, des plus anciennes photos (1964) au plus récentes (2014) 02/07/24 | Rural et Communes. Excellent livres pour insomniaques. C’est comique qu’une fondation « pour l’art contemporain » publie ça. Les louages à Depardon dans le texte du milieu sont à éclater de rire. 21/07/23 | Paris Journal. Désolant. C’est tout un art de faire un journal et à l’évidence Depardon ne le maîtrise pas. C’est ennuyeux. Quand je pense aux arbres sacrifiés… « Ni photographies de travail, ni photographies familiales, elles sont faites pour le plaisir et au hasard de mes déplacements dans la capitale ». 533 pages, 55 euros. Savoir dire « non » à un éditeur qui veut piocher dans votre travail. Tomi ne savait pas toujours dire non lui aussi. Mais Tomi était génial… | Énièmes exemples d’un photographe qui ne sait pas quand s’arrêter. | Afriques. Pas mal ! Il y a quelques bonnes photos. Très mal utilisé mais il y en a des bonnes, indéniable. | Le décalage entre la réputation de ce photographe et la qualité de son travail. | Je lis : « Les photos de Depardon s’imposent instantanément par leur simplicité et leur naturel, qualité rares qui les rendent éminemment singulières. » (Un moment si doux) Oui c’est effectivement des qualités rares, qu’on Evans et Frank par exemple. Pour y arriver, beaucoup de travail nécessaire. La simplicité ne se décrète pas. « Dans un monde saturé d’images, elles disent la réalité toute nue, sans mise en scène, sans artifice » … Une pièce de théâtre mise en scène, de Shakespeare par exemple, est plus proche de la réalité que ces photographies. C’est en transformant bien qu’on réussit à dire avec justesse la réalité. | Il est peut-être là le problème de Depardon : il ne travail pas à transformer la réalité. Ou en tout cas, il croit ne pas le faire et par là, être plus « authentique ». (Donner exemple des documentaires sur les paysans) 02/08/23 Bolivia. Superficielle. On dirait les photos d’un amateur-qui-passe-et-qui-n’ose-pas. 20/08/23)
. Mike Disfarmer Photopoche | (Mauvais portraitiste. Qu’est-ce qu’il pouvait bien leur faire pour qu’ils aient l’air aussi morne ? | Bon exemple à prendre pour montrer le génie du portrait-posé de Lora et Avedon 29/08/23)
. William Eggleston (Catalogue Fondation Cartier pour l’art contemporain) - William Eggleston | (Bon exemple de massacres des images d’Eggleston. Editing d’aveugle. Dommage, il y a beaucoup de bonnes photos. | Quelqu’un qui photographie bien les fleurs aura toujours mon respect | Il y a certaines associations qui marchent bien tout de même : enchaînements pages 56/57-58/59. 94/95 catastrophique. Même chose double suivante. 103/104-105/106 excellent. La 121 devrait être seule en page de droite et la 120 seule en page de droite après. L’effet doublerait en force. 124/125 très beau, mais danger : il faut faire attention avec ces associations trop simples. Avec les images d'Eggleston on peut rapidement tomber dans un côté graphique vide. Même commentaire pour 134/135. 146, affreux. C’est quoi ce halo autour de la branche en bas à droite ? | Passer une commande à Eggleston est ridicule… on ne peut pas faire photographe moins adapté à la commande… 05/09/23)
. Sequentially yours - Elliot Erwitt | (Intéressant et drôle. Mais très limité, rapidement répétitif. Ce genre de chose est efficace dans un contexte différent, où il n’y a pas que ça… Robert Adams le fait mieux (sans l’humour). Je dois trouver le moyen de perfectionner ce type de séquence en photographie. 17/09/23)
. Louons maintenant les grands hommes - Walker Evans (Pas lu les textes. 07/08/23)
. La soif du regard - Walker Evans, édit. John Hill, Gilles Mora
. Storylines - Robert Frank (Bonnes mises en page. ; Son travail en dehors de The Americans n’a pas beaucoup d’intérêt… Il y a des fulgurances par ci par là mais rien d’extraordinaire. Et parfois c’est des trucs carrément minables dont personne ne se soucieraient si ce n’était pas Robert Frank (La série des bus, les polaroids). | Come Again. Je déteste les photographes qui viennent dans des pays en sale état et ne font rien d’autre que prendre des photos de bâtiments en ruines. Ils doivent être persuadés de faire quelque chose de profond. Ils ne flattent que leurs yeux. Ils sont dans leur propre monde, aimant les ruines des autres (de l’extérieur c’est toujours joli une ruine). J’ai croisé un livre sur le Liban comme ça. 09/08/23)
. Self Portrait - Lee Friedlander
. Ukraine Terre désirée - Guillaume Herbaut | (La première partie n'est vraiment pas extraordinaire. Les photos ont peu de vie… Le niveau monte un peu dans la seconde. Mais il ne sait pas raconter d’histoire avec ses images. Le souhaite-il ? | Ces photos ne semblent pas vivre ensemble. Elles ne créent pas (ou très rarement) de rapport entre elles. | La photo des oiseaux page 104 : voilà des trucs qu’il faut voir dans des reportages ! Osez sortir de l’événement, de l’information parfois ! Montrez nous la vie à côté ! | Diptyque pages 116/117, ça c’est vivant, à l’essentiel, efficace. Là j’ai l’impression d’être à la place du photographe, il me fait ressentir ce qu’il a vu. La magie est brisée dès la page suivante… dommage. On revient rapidement au « portrait correct » page 121. 122/123, bonnes photos, mauvais diptyque. 130 super ! 130/131, comment peut-on croire qu’un diptyque comme ça est une bonne idée ? 179, 181, 185, bonnes photos. | Pourquoi mettre seulement à la fin ces intéressantes notes ? Dommage… | Conclusion : c’est pas mauvais, mais si conventionnel ! Il y a si peu de risques pris… L’editing et le rythme sont mauvais. Quand est-ce que le photojournalisme va se remettre à composer ? Regardez les double page des magazines de l’époque ! C’est des compositions ! C’est comme ça qu’on fait ressentir les choses… C’est pas en étant « neutre » esthétiquement… 18/09/23)
. Heliotropo 37 - Graciela Iturbide
. Isle of man revisited - Chris Killip
. Ostrava - Viktor Kolár
. Gypsies/Gitans - Josef Koudelka (Super ! Mais pourquoi faut-il que l’intégralité des photographies ne montre que des humains ? C’est dommage car c’est finalement très limité comme œuvre… Je suis étonné du peu de curiosité pour le monde de ces photographes. Ou alors pense-t-il que les seules choses qui valent la peine d’être vu sont des humains, toujours dans le même cadre ? 15/07/23 | À le revoir, j’ai un peu moins d’estime pour ce travail. C’est bien trop répétitifs. Et au final j’ai une image assez réduite de ce que sont ces gens. C’est là qu’on voit la force de Walker Evans. Il est plus curieux. Par exemple, lorsqu'il photographie des affiches, il nous fait sentir que ces visages sont des êtres qui vivent avec nous, ce n’est pas si mort que ça... Même chose avec l’architecture. Je ne sais pas comment le dire. Il y a une texture à ces images d’architecture. Il les fait exister d’une autre manière que les photographes habituels. Bien sûr c’est toujours très anthropocentrique mais quand même, il y autre chose. 27/08/23 | Je viens d’avoir la même sensation d’ennui avec Espagne occulte de Cristina García Rodero. Il y a beaucoup trop de « belles photos » dans ce livre. Pourquoi avoir choisi la plus mauvaise photo du livre pour couverture ? 12/09/23)
. La fabrique d’Exils - Josef Koudelka | (Oh mon Dieu ce livre est parfait ! Peut-on faire mieux comme livre d’étude/catalogue sur l’œuvre d’un photographe ? Étrange, le photographe en question est impliqué dans sa conception… 28/08/23)
. Nationality Doubtful - Joseph Koudelka
. An American Exodus a record of human erosion - Dorothea Lange & Paul Taylor | (Pourquoi les milieux de la photographie ne rééditent pas ces vieux livres créés par les photographes au lieu d’éditer leurs catalogues qui passe superficiellement sur les œuvres ? J’avais découvert Lange avec l’un de ces catalogues justement. Ennuyeux. Ce livre, au contraire, est intéressant. Avec quelques modifications de typographie ou d’autres détails, ce serait génial d’avoir bien imprimé ce genre de livre. Ils l'ont fait avec American Photographs, magnifique ! Pourquoi les deux chefs-d’œuvre de HCB (Chine et Urss) ne sont pas réédités ? Les catalogues sur HCB sont à vomir. 20/07/23)
. L’album d’une vie - Jacques Henri Lartigue (Belle découverte, c’est très innovant ! Lui aussi c’est un de mes ancêtres ! Il compose. Ça finit même sur des fleurs ! Voilà un vrai journal photographique. Je ferai mieux avec Arabesques. ; J’adore ses photos de photographes. 28/07/23)
. Sogobo, Le peuple des marionnettes - Dany Leriche, Jean-Michel Fickinger . | 01
. Le Black Book - Robert Mapplethorpe
. Vrais semblants - Sarah Moon
. Vers l’Orient - Marc Riboud | (Quel chef-d’œuvre ! 13/07/23 Le texte d’introduction fait très vlogueur en quête de liberté et d’authenticité. Un peu ridicule mais pas malhonnête. Les passages les plus intéressants sont ceux des lettres d’HCB. IL ME LES FAUT! ; Des fois je trouve qu’il romantise un peu, je sais pas… C’est pas très gênant ici, contrairement à la photo de la jeune fille à la fleur qui est vraiment mauvaise. 20/07/23 ; Je répète ce que j’ai dit pour HCB, les catalogues/compilation ne fonctionnent pas avec ces photographes. Le livre Journal en est un bon exemple. Toutes les photographies présentes dans Vers l’Orient, perdent beaucoup dans cette compilation médiocre. ; même chose malgré une unité de lieu : le livre Istanbul en est la preuve. Mélanger les photos de 1955 avec celle de 1998-2000 ne fonctionne pas, rythmiquement, narrativement il y a quelque chose de cassé, de haché (dans le mauvais sens du terme). En plus les photos récentes sont d’une pauvreté lamentable par rapport au plus anciennes. N’a-t-il rien d’autre à dire que le « tradition versus modernité », femmes voilées versus femmes non-voilées, ou couples « à la mode occidentale » ? Preuve d’un très grand manque de lucidité, et même de préjugés. J’ai du mal à le dire mais ce livre est assez insultant envers les musulmans. Ce retour à Istanbul n’est pas aussi mauvais que les retours à Berlin de Depardon mais on pourrait s’en passer. C’est un des trucs que je respecte avec HCB : il a su s’arrêter au bon moment ; Huang Shang. Catastrophique. Marc, pourquoi ? Pourquoi t’as fait ça ? Reste en aux humains et au noir et blanc… 21/07/23 ; Le volume sur le Japon est très clairement en dessous. Avec un grand nombre de ce que j’appelle des « photos de touristes volés ». Très superficiel, pas grand chose à dire. Les photos du volume Turquie sont excellentes mais ça manque de consistance. Trop de flânerie, pas assez de reportages. 23/07/23 ; Le volume 2 (Iran etc.) est je crois le meilleur. La narration est parfaite, on le suit vraiment d’une route à l’autre. Le dosage entre reportages/scènes de vie quotidienne est équilibré. Et de façon générale, les images sont très bonnes. ; Volume 3 (Inde) est en dessous. C’est dommage, ce qu’il nous montre n’est pas très intéressant. ; Celui sur la Chine est très très bon. ; Finalement ce n’est pas le chef-d’œuvre que dans mon excitation j’avais crié. Disons que c’est un classique. Le reproche principal que je ferai c’est d’avoir gardé le même nombre de pages pour chaque volume. À l’évidence le niveau est déséquilibré, et c’est mettre un peu tout dans le même cadre. Le volume Japon ne mérite pas autant de place tellement les images sont plus faibles. Ça reste un excellent travail éditorial, et très certainement ce que Riboud à fait de mieux. 24/07/23)
. Algérie Indépendance - Marc Riboud (Bons reportages. Des fois il est un peu superficiel, je l’ai remarqué régulièrement dans son travail. Il manque de finesse sur ce qu’il regarde. Apparemment il aurait dit « après cinquante ans, ai-je changé ma façon de voir ? Je ne le crois pas. On change rarement. » C’est justement le problème... Je vois aucun changement dans sa manière de photographier au fil du temps, et forcément la qualité baisse… Du coup Vers l’Orient reste ce qu’il a fait de plus frais et mûr à la fois… ; Je trouve souvent un décalage entre les photographies et ce qu’en disent les différents textes dessus (que des louanges bien sûr, pas vraiment d’analyse, et pas de texte qui viennent accompagner les photos). De façon générale, est-ce que ce n’est pas problématique de mettre dans un de ses livres des textes qui viennent faire nos louanges ? Parce que ces textes ne font pas grand chose d’autre. ; J’ai souvent remarqué ça, et je ne sais pas si c’est propre à la photographie : pourquoi pense t-on pouvoir bien écrire des textes dans un livre de photographie juste parce qu’on aurait un lien avec ce que les photos montrent ? Écrire dans un livre de photos n’est pas seulement une affaire « d’avoir des choses à dire sur le sujet où les photos ». On ne devrait pas écrire dans un livre de photo comme on écrit dans un essai, dans un livre d’histoire ou une conférence. Écrire des textes qui accompagnent des photos est tout un travail très particulier, il faut savoir accompagner les images. 23/07/23)
. Cuba - Marc Riboud
. Hommes du XXe siècle - August Sander | (C’est quand même pas ouf. Il y a parfois des éclairs de beauté, mais généralement c’est trop plat. ; Il ne sait pas faire poser les gens. Les portraits sur fond unis sont ennuyeux. Ceux dans la rue pas beaucoup plus intéressant, il ne tire presque aucune expressions intéressantes de ces gens. Lora est infiniment meilleure. 29/08/23)
. Leçon de photographie - Stephen Shore (Pas mal, mais mon manuel sera infiniment mieux. ; C’est marrant cette coïncidence des petits textes avec une photo à côté. ; ça commence bien, mais ça empire à partir de « Un autre niveau, compris dans celui-ci, contient des signaux qui s’adressent à l’appareil percepteur blabla ». Page suivante c’est pire ! Incompréhensible cette phrase ! Il faut un manuel pour expliquer le manuel. 03/08/23 ; Finalement c’est ennuyeux, je ne comprends pas l’intérêt ni pour des débutants ni pour des pro ni pour n’importe qui. Ça ressemble plus à un livre d’universitaire qui essaye d’être intelligent et est finalement pompeux. ; Je rêve où il ne regarde jamais la photographie comme un ensemble de photographies qui agissent les unes sur les autres ? J’ai l’impression qu’il base la compréhension de la photographie seulement sur des exemples de photos uniques, isolées de leurs séries. Alors que c’est justement en regardant une œuvre de photographie dans son ensemble qu’on peut y décerner ce qu’il y a de plus innovant et intéressant. ; Cette manière de présenter les photos coupe une partie de l’intérêt qu’elles ont : vivre avec d’autres photographies. 04/08/23)
. Tsiganes et Gitans - Hans Silvester | (Très bon exemple d’une œuvre de reportage de qualité mais conventionnel. 26/08/23)
. Dream street Pittsburgh project - W. Eugene Smith | (Passionnant. Quel dommage qu’il n’ai pu le finir… Je me rends compte à quel point j’ai de la chance de pouvoir créer dans ces conditions… ; Sans le savoir la Fresque hérite d’un projet commun ça. C’est une sensation merveilleuse de sentir qu’on vient de quelque part, et qu’on poursuit ce que d’autres ont fait, même sans le savoir. ; L’édition de Gilles Mora est bien aussi. Chaque édition a des qualités et des défauts que l’autre n’a pas (la mise en page du premier est meilleure, mais la structure générale du Mora est plus vivante). C’est pas un travail facile et j’ai dû respect pour eux. Le problème, et je l’ai vu très souvent avec ce genre de publication, c’est qu’on voit à leur editing que c’est des historiens et pas de photographes. Ils connaissent bien le travail mais prennent trop de précautions avec les images, ils ne tentent rien d'intéressant au niveau des mises en page. Il suffit de voir la différence avec celle de Smith. Finalement ils ne composent pas. Et leurs précautions se comprennent ! C’est risqué de s’attaquer à une œuvre comme ça… Malheureusement ça affaiblit la force possible des images. Je rêverais un jour de collaborer à l’édition de grandes œuvres comme celle-là. En collaboration spécialiste & artiste on arriverait à des résultats bien plus satisfaisant. C’est difficile pour eux de ne pas tomber dans le catalogue… 12/08/23 C’est confirmé, j’ai réussi avec la Fresque là où Smith a échoué avec Pittsburgh. 14/08/23)
. Du côté de l’ombre - W. Eugene Smith | (Je suis un peu moins impressionné par ses reportages que par Pittsburgh. C’est un photographe qui a besoin de s’étendre. 15/08/23 ; C’est marrant comme ces spécialistes, aussi bon soit-t-ils, ne se rendent pas compte qu'avec leurs mise en page « neutre » ils ruinent presque entièrement la qualité des reportages. Serait-t-il si compliqué de reproduire à l’identique les mises en pages des reportages dans les magazines ? Et après ils s’étonnent que « les jeunes » ne s’intéressent pas à ce genre de photographies. Mais vous faites tout pour rendre stérile et froid les photos ! 16/08/23)
. Time in New England - Paul Strand
. La France de profil - Paul Strand, Claude Roy | (Je découvre le même jour que le Paul Strand. Intéressant, j’en apprends sur a famille 23/06/23)
. Why, Mister, Why? - Geert Van Kesteren (Chef-d’œuvre. ; J’ai vu une interview où il parle de ne pas vouloir montrer qu’une image et au contraire faire voir ce qui se passe avant/après une image. Et il prend comme contre exemple HCB… Même lui tombe dans le cliché de l’instant décisif… C’est triste à quel point Henri est mal compris, tout ça à cause d’un éditeur qui a mal choisi le titre d’un livre contre les intentions du photographe. 22/08/23)
. Baghdad Calling - Geert Van Kesteren (C’est bien d’avoir pris les images de téléphones de non-professionnel. Mais elles ne sont pas très bien utilisées je crois. Il faudrait pousser plus loin le truc, de manière journalistique dans son cas. D’une toute autre façon, au printemps 2020 (ou peut-être avant), j’ai commencé mes premières compositions avec des images de vidéos. Celles de Syrie, de cadavres torturés principalement. J’avais été frappée par la force de ces images au style anonyme. « Style anonyme » dans le sens où ça ressemble à ce qu’on peut trouver n’importe où sur la planète avec le même matériel. Il y a quelque chose dans ces vidéos au téléphone de très terrestre : on y est. (J'expérimenterais avec ce style dans les vidéos Fresque de Tripoli). C’est pas les images détachées, hors-sol, d’un drone. Ce qui était difficile en ce qui concerne les compositions, c’était de rendre photographique des images venant de vidéos. D’une certaine manière, j’ai regardé les vidéos comme si c’était la réalité que j’avais devant les yeux, et au lieu d’appuyer sur le déclencheur, je faisais une capture d’écran. C’est seulement quand je réussissais cela, que j’arrivais à intégrer les captures de vidéos dans mes compositions. J’utiliserais ces compositions dans Cosmos, je ne vois pas où ailleurs. ; Ce style anonyme (est-ce le bon terme?) est modulable, réappropriable dans une œuvre de photographie ou de vidéo. C’est pas facile mais possible. J’en ai eu une autre confirmation depuis hier en ayant découvert le travail de Lora Webb Nichols. Je dois développer et réfléchir à tout ça. 22/08/23)
. Weegee Autopsie du spectacle - Cat. Clément Chéroux | 01
. Grozny : neuf villes - Oksana Yushko, Maria Morina, Olga Kravets (Inspirant. En particulier la manière anonyme dont les photographies des trois photographes sont utilisées. ; J’aime comme sont insérés les images d’archives de Stasita Israilova. C’est intelligent. 03/08/23)
. Ma proche banlieue - Patrick Zachman(Inspirant. Je suis sensible au ton et à l’honnêteté de ses textes. 28/07/23)
. Le petit livre rouge d’un photographe chinois - Li Zhensheng (J’ai abordé ce livre très enthousiaste m’attendant, au vu des extraits, à quelque chose de très bon : reportage complet sur une longue période, livre et mise en page intéressante, long travail de recherche. J’ai rapidement été déçu. | Trop de textes. Répétition entre les textes de Li et les textes des parties photos. | Pas de doute que c’est un document important mais les photographies ne sont finalement pas si extraordinaires. Les mêmes scènes très répétitives. | Je ne comprends pas pourquoi les textes dans les pages photos reprennent parfois exactement la même chose que les textes de Li ? Sans compter les légendes qui répètent une troisième fois certaines informations pour illustrer la photo en question. Ce livre est mal pensé et édité. Dommage et les mises en page sont bien. 11/11/24 | L’épilogue par contre est parfait. Voilà un exemple d’excellent reportage, bien raconté, très bien photographié. Juste ce qu’il faut. 12/11/24) | 01
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Collectif :
. La mission héliographique Cinq photographes parcours la France en 1851 - Anne de Mondenard
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Annexes :
. Cent cinquante ans de photo littérature pour les enfants - Laurence Le Guen
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Psyché désamorcée – Alfred Abboud
Œuvres – Antonin Artaud
Alcools – Apollinaire
Les fleurs du mal – Charles Baudelaire
Le spleen de Paris – Charles Baudelaire
Cinq grandes odes – Paul Claudel
La divine comédie – Dante
Œuvres complètes – Dante
Capitale de la douleur – Paul Éluard
Fables – La Fontaines
Poèmes et proses – Daniil Harms
Hypérion – Hölderlin
Odes, élégies, hymnes – Hölderlin
Poèmes 1806-1843 – Hölderlin
Odes – Horace
Les chants de Maldoror – Lautréamont
Poésies I – F. Garcia Lorca
À pleine voix – Vladimir Maïakovski
Le paradis perdu – John Milton
Cancioneiro – Fernando Pessoa
Le livre de l’intranquillité – Fernando Pessoa
Livre(s) de l'inquiétude – Fernando Pessoa (J’aime cette édition plus que la précédente. Apparemment la majorité des spécialistes ne l’approuvent pas. Cette division en trois parties me permet de mieux aborder les textes. Ça les ranges, tout en gardant le côté « pas fini » et fragmentaire. Bien sûr, Soares reste le meilleur des trois. Mais ses qualités sont amplifiées par les différences avec les deux précédents. Je pense que la traductrice le sait. 20/02/24)
Le pèlerin – Fernando Pessoa
Le parti pris des choses – Francis Ponge
La dame de pique – Alexandre Pouchkine
Boris Godounov – Alexandre Pouchkine
Le convive de pierre – Alexandre Pouchkine
Eugène Onéguine – Alexandre Pouchkine
La fille du capitaine – Alexandre Pouchkine
Le soleil d’Alexandre – André Markowicz
Les complaintes – Jules Laforge
Œuvres – Arthur Rimbaud
Le bestiaire de monsieur Ronsard – Pierre de Ronsard
Poèmes saturniens – Paul Verlaine
Sagesse amour bonheur – Paul Verlaine
Robâiyât (Quatrains) – Omar Khayyâm
Le jardin des roses et des fruits – Saadi
Le cantique des oiseaux – Farîd od-din Attâr
Mathnawî – Dlalâl od-din Rûmî
L’épopée de Gilgamesh
Shâhnâmeh, Le livre des rois – Ferdowsi
Au dernier soir sur cette terre – Mahmoud Darwich
Une mémoire pour l’oubli – Mahmoud Darwich
Pourquoi as-tu laissé le cheval à sa solitude ? – Mahmoud Darwich
Le lit de l’étrangère – Mahmoud Darwich
Murale – Mahmoud Darwich
Comme des fleurs d’amandiers ou plus loin – Mahmoud Darwich
Ne t’excuse pas – Mahmoud Darwich
Présente absence – Mahmoud Darwich
La trace du papillon – Mahmoud Darwich
Le livre (Al-Kitâb) – Adonis
Adoniada – Adonis
Annexe :
La prière et l’épée – Adonis
La revue Shi’r / Poésie et la modernité poétique arabe Beyrouth (1957-1970) - Dounia Badani
Je soussigné, Mahmoud Darwich – Ivana Marchalian
La Palestine comme métaphore (entretiens) – Mahmoud Darwich
Correspondance - Arthur Rimbaud éd. Jean-Jacques Lefrère
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Eugénie Grandet - Honoré de Balzac
Illusions perdues - Honoré de Balzac
Le Père Goriot - Honoré de Balzac
Le Maître et Marguerite - Mikhaïl Boulgakov
Women - Charles Bukowski .
Don Quichotte de la Manche (2 vol.) - Miguel de Cervantès (Trad. Aline Schulman)
Don Quichotte de la Manche (2 vol.) - Miguel de Cervantès (Trad. Jean Canavaggio)
Les Travaux de Persille et Sigismonde - Miguel de Cervantès
La Jambe sur la jambe - Faris Chidyaq
Ici et seulement ici - Christelle Dabos
La Passe-Miroir (4 vol.) Christelle Dabos
Fantastique Maître Renard - Roald Dahl
Le BGG - Roald Dahl
Charlie et la chocolaterie - Roald Dahl
Sacrées Sorcières - Roald Dahl
Mathilda - Roald Dahl
Les Aventures d’Oliver Twist - Charles Dickens .
David Copperfield - Charles Dickens (Trad. P. Lorain) (Mauvaise traduction)
Les Aventures de David Copperfield (2 vol.) - Charles Dickens (Trad. Sylvère Monod)
Bleak House - Charles Dickens (Trad. Sylvère Monod)
Les Grandes Espérances - Charles Dickens (Trad. Sylvère Monod)
L’Ami commun / Le Mystère d’Edwin Drood - Charles Dickens (Trad. Lucien Carrive, Sylvère Monod, Renée Villoteau)
Madame Bovary - Gustave Flaubert
L’Éducation sentimentale - Gustave Flaubert
Les Ailes brisées - Khalil Gibran
Les Souffrances du jeune Werther - Goethe
Les âmes mortes - Nikolaï Gogol
Le dernier jour d’un condamné - Victor Hugo
L’homme qui rit - Victor Hugo
Les Misérables (2 vol.) - Victor Hugo
Portrait de l’artiste en jeune homme - James Joyce
Œuvres I Poésies Proses et récits Théâtre - James Joyce
Ulysse - James Joyce
Le procès - Franz Kafka (Trad. Georges-Arthur Goldschmidt)
Cent ans de solitude - Gabriel García Marquez (Trad. Claude et Carmen Durand)
Ce que nous conta Isa Ibn Hicham Chronique satirique d’une Égypte fin de siècle - Muwaylihi
Terremer Intégrale - Ursula K. Le Guin
Moby Dick - Herman Melville (Trad. Armel Guerne)
Ouvert la nuit - Paul Morand
Journées de lecture - Marcel Proust
À la recherche du temps perdu - Marcel Proust
Lucette - Marc-Édouard Nabe
Le hussard bleu - Roger Nimier
Pantagruel - François Rabelais
Le Tiers Livre - François Rabelais
Gargantua - François Rabelais
Impressions d’Afrique - Raymond Roussel
Harry Potter (7 vol.) éd. fr. - J. K. Rowling
Harry Potter (7 vol.) éd. ang. - J. K. Rowling
La bibliothèque de Poudlard - J. K. Rowling
Histoire de Juliette (6 vol.) - Marquis de Sade
Le prieuré de l’oranger - Samantha Shannon
Terre des hommes - Antoine de Saint- Exupéry
Le Seigneur des anneaux Intégrale - J. R. R. Tolkien
Le Silmarillion - J. R. R. Tolkien
Le Portrait de Dorian Gray - Oscar Wilde
Ebook :
La Quête d'Ewilan (Vol. 1) - Pierre Bottero (2003) (Histoire assez bien racontée avec quelques idées intéressantes. | Roman de droite écrit par un Blanc. Le traitement du personnage de Salim est très, très gênant. | Nombreuses situations superficielles, changement de comportements des personnages trop rapide. 07/06/24)
Dune - Frank Herbert (1965)
Le messie de Dune - Frank Herbert (1969)
Le Procès - Franz Kafka (1925)
1984 - George Orwell (1949)
Le Trône de Fer L’Intégrale 1 - George R. R. Martin
Le Nom du vent (Chronique du tueur de roi vol. 1) - Patrick Rothfuss
La peur du sage (Chronique du tueur de roi vol. 2) - Patrick Rothfuss
Monsieur Han - Hwang Sok-Yong
Mrs Dalloway - Virginia Woolf (1925)
La marcheuse - Samar Yazbek
Annexe :
Lettres à Nora - James Joyce
Rencontre avec J. K. Rowling l’auteur de Harry Potter - Lindsey Fraser
Harry Potter Un monde de magie cat.
-
Voyage au bout de la nuit
Mort à crédit
Écrits polémiques (pamphlets)
Les beaux draps
Guignol’s band 1 et 2
Casse-pipe
Féerie pour une autre fois
Entretiens avec le professeur Y
D’un château l’autre
Nord
Rigodon
L’église
À l’agité du bocal
Guerre
Londres
Ballets sans musique, sans personne, sans rien
Maudits soupirs pour une autre fois
Histoire du petit Mouck
Annexe :
Semmelweis
Céline et l’actualité littéraire
Lettres à Henri Mondor
Lettres à Milton Hindus
Lettres à des amies
Lettres de prison
Lettres (Pléiade)
Biographie François Gibault 3 Volumes
Film documentaire Céline vivant (Entretiens – biographie)
-
Trad. André Markowicz :
Œuvres romanesques 1846-1849
Le Double
Les Nuits blanches
Les Carnets de la maison morte
Les Carnets du sous-sol
Crime et châtiment (2 vol.)
Le joueur
L’Idiot (2 vol.)
L’Éternel mari
Les Démons (3 vol.)
L’Adolescent (2 vol.)
Les Frères Karamazov (2 vol.)
Annexe :
Correspondance vol. 2 - Fédor Dostoïevski
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. L’Enfer selon Rodin - cat. François Blanchetière
. Rodin Morceaux choisis - Véronique Mattiussi & Christian Baraja
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Annexe :
. L’Art (Entretiens) - Auguste Rodin
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En attendant Godot - Samuel Beckett
Oh les beaux jours suivi de Pas moi - Samuel Beckett
Fin de partie - Samuel Beckett
Numance - Miguel de Cervantès
Tragédies complètes - Eschyle
Les bonnes - Jean Genet
Urfaust, Faust I, Faust II - Gœthe
Théâtre complet - Heinrich von Kleist
Tamerlan le Grand - Christopher Marlowe
Le Docteur Faust - Christopher Marlowe
Molière Œuvres complètes (2 vol.) - dir. Georges Forestier & Claude Bourqui
Racine Théâtre complet - dir. Jean Rohou & Paul Fièvre
La Cerisaie - Anton Tchekhov
Les trois sœurs - Anton Tchekhov
Théâtre élisabéthain (2 vol.) - dir. Line Cottegnies & François Laroque & Jean-Marie Maguin
William Shakespeare :
Henry VIII (Trad. André du Bouchet, éd. bilingue)
Hamlet (éd. ang.)
The Sonnets and A Lover’s Complaint
Trad. Yves Bonnefoy :
Jules César
Antoine et Cléopâtre (éd. bilingue)
Henry IV / Première partie
Roméo et Juliette
Hamlet
Le Roi Lear
Le Conte d’hiver
La Tempête
Trad. Jean-Michel Déprats, éd. bilingue :
Tout est bien qui finit bien
Peines d’amour perdues
Le Marchand de Venise
Trad. André Markowicz :
La Lamentable Tragédie de Titus Andronicus
La Vie et la Mort du roi Richard II
Le Songe d’un nuit d’été
Le Roi Richard III
Beaucoup de bruit pour rien
Comme il vous plaira
Hamlet
Troïlus et Cressida
Mesure pour mesure
La Tragédie d’Othello, le Maure de Venise
Le Roi Lear
La Vie de Timon d’Athènes
Macbeth
La Tempête
Annexe :
Shakespeare La biographie - Peter Ackroyd
Shakespeare notre contemporain - Jan Kott
Sur le théâtre de marionnettes - Heinrich von Kleist
Le théâtre du monde Une histoire des masques - Paul-André Sagel
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Le dit du Heichu
Le dit du Hogen / Le dit du Heiji
La treizième nuits et autres récits – Higuchi Ichiyô
Qui est le plus grand ? – Higuchi Ichiyô
Contes d’Ise
Je suis un chat – Natsume Sôseki
Le pauvre cœur des hommes – Natsume Sôseki
Confessions d’un masque – Yukio Mishima
Le pavillon d’or – Yukio Mishima
Les belles endormies – Yashunari Kawabata
Les heures oisives / Notes de ma cabane de moine – Urabe Kenkô / Kamo no Chômei
Notes de chevet – Sei-shônagon
Splendeurs et misères d’une favorite – Dame Nijô
La sente des contrées secrètes – Matsuo Bashô
Journaux de voyage – Matsuo Bashô
Journal – Tosa
Journal – Murasaki-shikibu
Le dit du Genji – Murasaki-shikibu
Si on les échangeait, le Genji travesti
Mémoires d’une éphémère (954-974) – Mère de Fujiwara no Michitsuna
Annexes :
L’âge d’or de la prose féminine au Japon (X-XI siècle) – Jacqueline Pigeot
À la découverte du Dit du Genji
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Fragments – Heraclite
La theogonie, les travaux et les jours – Hesiode
L’Illiade – Homère
L’Odyssée – Homère
Les métamorphoses – Ovide
Lettres d’amour – Ovide
L’art d’aimer – Ovide
De l’agriculture – Varron
Bucoliques, géorgiques – Virgile
L’Énéide – Virgile
Romans grecs et latins - dir. Romain Brethes & Jean-Philippe Guez
Livre des Morts des Anciens Égyptiens – Grégoire Kolpaktchy
Lumière de l’Absolu – Yogindu
L’Épopée de Gilgames - éd. Jean Bottéro
Annexe :
Introduction au théâtre grec antique – P. Demont & A. Lebeau
Homère – Pierre Judet de la Combe
Histoire du monde grec antique – François Lefèvre
L’Univers, les dieux, les hommes – Jean-Pierre Vernant
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Le Roman de Renart - dir. Armand Strubel
La chanson de Roland (Trad. Paulette Gabaudan)
Lancelot, le chevalier de la Charrette - Chrétien de Troyes (Trad. Jean-Louis Paul éd. bilingue)
Yvain, le chevalier au Lion - Chrétien de Troyes (Trad. Jean-Louis Paul éd. bilingue)
Perceval et Gauguin Le Conte du graal - Chrétien de Troyes (Trad. Jean-Louis Paul éd. bilingue)
Romans de la Table Ronde - Chrétien de Troyes
Lais - Marie de France (Trad. Françoise Morvan)
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Agir, contempler - Jean-François Chevrier (Beau livre, bien imprimé. Format possible pour La colline aux genêts ? | Textes ennuyeux à se pendre. Pour qui se prennent ce genre de personnes pour écrire des choses aussi hermétiques et pompeuses ? C’est très arrogant. 03/02/2024)
Secrets de fabriques - dir. Élisabeth Essaian & Marc Dilet
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Étant donné Marcel Duchamp Palimpseste d’une œuvre - Marc Décimo
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Un captif amoureux - Jean Genet
Citadelle - Antoine de Saint-Exupéry
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. La prière et l’épée – Adonis
. Terra Forma – Frédérique Aït-Touati & Alexandra Arènes & Acelle Grégoire
. La résistance des bijoux Contre les géographies coloniales - Ariella Aïsha Azoulay
. La prochaine fois, le feu - James Baldwin
. La rébellion zapatiste – Jérôme Baschet
. La Révolution française et les colonies - Marc Belissa
. Les Indiens des plaines – Yves Berger & Daniel Dubois
. Enquêtes suivi de Entretiens - Jorge Luis Borges
. Les invalides, catalogue - Boris Bouget
. Le déracinement – Pierre Bourdieu & Abdelmalek Sayad
. Travail et travailleurs en Algérie – Pierre Bourdieu
. Esquisse pour une auto-analyse – Pierre Bourdieu
. Les Blancs, les Juifs et nous Vers une politique de l’amour révolutionnaire - Houria Bouteldja
. De la France – E. M. Cioran
. Les emmurés – Sylvain Cypel
. L’Etat d’Israel contre les juifs – Sylvain Cypel
. Histoire de la Corée – Pascal Dayez-Burgeon
. Les Formes du visible – Philippe Descola
. Le Liban en guerre – Dima de Clerck & Stéphane Malsagne
. Les premiers peuples des plaines – George E. Hyde
. How the west stole democracy from the arabs – Elizabeth F. Thompson
. Le milieu des mondes – Jean-Pierre Filiu
. Impressions Bugey - Jacky et Jean-Pierre Galliot
. Reliques: se connecter à l'au-delà - Philippe Georges | 01
. L’épopée des croisades – René Grousset
. Une histoire de la Révolution française - Eric Hazan
. La renaissance des campagnes en Corée du Sud 1960-2012 – Li Hong
. L’Espèce fabulatrice - Nancy Huston
. Les Jacobins noirs Toussaint Louverture et la Révolution de Saint-Domingue - C. L. R. James
. Tripoli through the ages – Nina Jidejian
. The Revolution of 1936–1939 in Palestine: Background, Details, and Analysis - Ghassan Kanafani
. La guerre du Liban – Samir Kassir
. Considérations sur le malheur arabe – Samir Kassir
. Critical Zones – Bruno Latour & Peter Weibel
. La question de Palestine 1 – Henry Laurens
. Français et Arabes depuis deux siècles – Henry Laurens
. Le passé imposé – Henry Laurens
. Le rêve zapatiste – Yvon Le Bot
. Opération Cesar – Garance le Caisne
. Oublie ton nom – Garance le Caisne
. La terre est un être vivant – James Lovelock
. Syrie, la révolution orpheline – Ziad Majed
. Saisons de la digne rage – Sous-Commandant Marcos
. Vie et destin de Jésus de Nazareth – Daniel Marguerat
. Brève histoire des empires – Gabriel Martinez-Gros
. London Labour and the London Poor: Selections – Henry Mayhew, Schroeder, Leckie
. La communauté terrestre - Achille Mbembe
. Le Paradis perdu : 1922, la destruction de Smyrne la tolérante - Giles Milton
. Histoire générale du Bund Un mouvement révolutionnaire Juif - Henri Minczeles
. L'Âge du Christ - Marc-Édouard Nabe
. Histoire de l’antisémitisme 1 – Léon Poliakov
. L’occupation du monde – Sylvain Piron
. J’ai tué le fils du chef Affaire Grégory le roman de la Vologne 1984-2018 - Denis Robert
. Globes Architectures et sciences explorent le monde - dir. Yann Rocher
. Comment la terre d’Israël fut inventée – Shlomo Sand
. Comment le peuple juif fut inventé – Shlomo Sand
. Crépuscule de l’histoire – Shlomo Sand
. Une race imaginaire – Shlomo Sand
. The Caravan Bridge, The point where trade began in Izmir - Erkan Serçe
. Comment tout peut s’effondrer – Pablo Servigne & Raphaël Stevens
. Nourrir l’Europe en tant de crise – Pablo Servigne
. Le monde vu d’Asie - Pierre Singaravélou & Fabrice Argounès
. La culture des contraires, Éclectisme, syncrétisme et bricolage – Phillipe St-Germain
. L’animal et la mort Chasses, modernité et crise du sauvage - Charles Stépanoff
. Des dons et des dieux – Alain Testart
. Les chasseurs-cueilleurs ou l’origine des inégalités – Alain Testart
. Les morts d’accompagnement I – Alain Testart
. L’institution de l’esclavage – Alain Testart
. Avant l’histoire – Alain Testart
. L'amazone et la cuisinière Anthropologie de la division sexuelle du travail - Alain Testart
. A history of modern Lebanon – Fawwaz Traboulsi
. Histoire de Corse – Michel Vergé-Franceschi
. Antisionisme = antisémitisme ? – Dominique Vidal
. Cartographie radicale Explorations - Nepthys Zwer & Philippe Rekacewicz
. Indochine et Vietnam 1940-1975 – Dennis Wainstock & Robert L. Miller
. Les portes du néant - Samar Yazbek
. Archival journeys A compilation of essays on archival practices - Syrian Design Archives
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Collectif :
. Premières secousses - Les Soulèvements de la terre
. Le Moyen-Orient et le monde – dir.Bertrand Badie & Dominique Vidal
. Le monde ne sera plus comme avant – dir. Bertrand Badie & Dominique Vidal
. Les pèlerinages dans le monde – dir. Jean Chélini
. Liban : la guerre de 1975-1990 dans le rétroviseur - dir. Dima de Clerk, Carmen Hassoun Abou Jaoudé, Roula Abi Habib Khoury
. Le livre noir du colonialisme – Marc Ferro
. Magazine Nous. numéro 2 - Andréas Malm, Houria Bouteldja, Louisa Yousfi, Wissam Xelka, Alain Brossat, François Burgat, Youssef Boussoumah
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Ebook :
. Beaufs et barbares Le pari du nous - Houria Bouteldja
. Violences policières. Le devoir de réagir - Vincent Brengarth & William Bourdon
. Il n’y a pas de grand remplacement - Hervé Le Bras
. On Zionist Literature - Ghassan Kanafani
. Les Dissidents Une année dans la bulle conspirationniste - Anthony Mansuy
. L’ère de l’invididu tyran - Éric Sadin .
. La Question syrienne - Yassin Al-Haj Saleh
. Un féminisme décolonial - Françoise Vergès
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Médiathèque :
. L’exploration du monde une autre histoire des grandes découverte – dir. Romain Bertrand
. Effondrement – Jared Diamond
. Caliban et la Sorcière Femmes, corps et accumulation primitive - Silvia Federici | 01
. Histoire du voile – Maria Giuseppina Muzzarelli .
. Une autre fin du monde est possible – Pablo Servigne & Raphaël Stevens & Gauthier Chapelle | 01
. L’entraide, l’autre loi de la jungle – Pablo Servigne & Gauthier Chapelle
. Programme de désordre absolu Décoloniser le musée - Françoise Vergès
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. Jean-Michel Basquiat – Michel Nuridsany
. Miles, l’autobiographie – Miles Davis
Dilla Time - Dan Charnas
. Dumont d’Urville, l’homme et la mer – Edward Duyker
. Alexandre Grothendieck – Philippe Douroux
. Gutenberg – Guy Bechtel
. Lightnin’ Hopkins: His life and blues – Alan B. Govenar
. Robert Johnson – Pearson and McCulloch
. Robert Johnson – Peter Guralnick
. Michel-Ange – Antonio Forcellino
. Le siècle de Picasso (vol .1 & 2) – Pierre Cabanne
. Arthur Rimbaud – Jean-Jacques Lefrère